Traité du citrus

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L. Fantin, 1811 - 363 páginas
 

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Passagens conhecidas

Página 41 - J'ai choisi du pollen le plus mûr et le plus coloré » dans les fleurs les plus nourries et les plus proches à » s'épanouir, et je l'ai appliqué sur le pistil de la fleur » que je voulais féconder. » Pour rendre l'opération plus exacte, j'ai détaché » la fleur même de son pied , et l'ayant dépouillée de » sa corolle, j'ai frotté les anthères, sans les toucher, » sur le stigmate destiné à recevoir la poussière. J'ai » répété cette opération avec plusieurs...
Página 211 - Handschriften steht: non) carere: quod ego in Sardinia et in territorio Neapolitano in fundis meis comperi (quibus solum et caelum tepidum est et humor exundans) per gradus quosdam sibi semper poma succedere, cum maturis se acerba substituant, acerborum vero aetatem florentia consequantur, orbem quendam continuae fecunditatis sibi ministrante natura.
Página 253 - Palästina, sunt ibi aliae arbores poma pulcherrima et citrina ex se producentes, in quibus quasi morsus hominis cum dentibus manifeste apparet et idcirco poma Adam ab omnibus appellantur.
Página 247 - Syrie, et il devint très commun dans les maisons des habitants de Tarse et autres villes frontières de la Syrie, à Antioche, sur les côtes de Syrie, dans la Palestine et en Egypte.
Página 194 - Sumetisque vobis die primo fructus arboris pulcherrimœ , spatulasque palmarum et ramos ligni densarum frondium et salices de torrente, et lartabimiiii coram Woinino vestro...
Página 194 - Vous prendrez au premier jour des branches du plus bel arbre avec ses fruits, des branches du palmier, des rameaux de l'arbre le plus touffu, et des saules qui croissent le long des torrents, vous vous réjouirez devant le Seigneur votre Dieu.
Página 296 - Chine, parce que celles que nous vîmes pour la première fois en avaient été apportées. Le premier et unique oranger, duquel on dit qu'elles sont toutes venues, se conserve encore à Lisbonne dans la maison du comte Saint-Laurent; et c'est aux Portugais que nous sommes redevables d'un si excellent fruit.
Página 200 - ... (arbousier), qu'on armerait de quelques piquans. Le fruit ne se mange pas. L'arbre se distingue aussi par l'odeur de ses feuilles, qui se communique aux étoffes avec lesVIII. 2O aliis vero subnascentibus.
Página 194 - Si cet usage n'eût pas été consacré depuis plusieurs siècles les rites religieux des Juifs , personne n'auroit soupçonné que Moïse eût voulu parler du citron-nier sous le nom de hadar: ce mot, bien loin d'être le nom propre d'une chose, ne signifie, selon les Septante, que le fruit du plus bel arbre, et, selon notre version latine , fructus ligni speciosi. Quant au texte de Josephe , il ne dit pas que la loi ordonnât aux Hébreux de porter , dans la fête des Tabernacles , des fruits de...
Página 53 - L'hybride présente des phénomenes qui sont très singuliers. Le mélange affecte quelquefois la substance du végétal , et on a alors un fruit mélangé dont les formes sont constantes, mais qui le plus souvent est infécond. Tel est le poncire, l'amandier-pêche, l'œillet double mélangé, la renoncule à fleurs doubles, etc. D'autres fois le mélange est comme vagant dans le végétal , et alors il affecte capricieusement des parties isolées de la plante , et...

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