Bibliothèque de l'École des hautes études: Sciences historiques et philologiques. IVe section, Edições 227-2291921 |
Palavras e frases frequentes
Albensis Ambitrebius Amours Antonii assez atque Auratus Bagiennus Baïf Bellay Belleau Bibliothèque Binet cardinal cardinal de Lorraine carmina cité Coelius Verus Collège dédicace dédié distiques docte Domitius Dorat Dupuy Durban édition Estienne etiam Fédéric Morel Floreius Florent Chrestien fonds Franciade François Ier fundus gentilice grec Henri Henri Estienne Homère humaniste imprimé Italiens Jean Brinon Jean de Morel Jean Dorat Joachim du Bellay Jodelle Junonius l'auteur l'édition L'Hospital l'inscription l'ode Lambin langue latin Laumonier Lazare de Baïf lettre ligure littéraire livre Magny Marty-Laveaux Melissus Mesmes Michel de L'Hospital mihi Muret Muses NOLHAC nunc Odes œuvres omnia Pachtere pagi pagus Paschal Pindare Plaisance Pléiade Poematia poème poésie poète poëtes premier Priscus propriétaires propriété publié quae quam quid quod recueil région romaine Rome Ronsardus saltus Scaliger sesterces seul sonnet terres texte tibi tion traduction Turnèbe Uytenhove Vaganay Veleia veleiate
Passagens conhecidas
Página 129 - Les François qui mes vers liront, S'ils ne sont et Grecs et Romains, Au lieu de ce livre ils n'auront Qu'un pesant faix entre les mains.
Página 106 - Les Hymnes sont des Grecs invention première. Callimaque beaucoup leur donna de lumière, De splendeur, d'ornement. Bons Dieux, quelle douceur, Quel intime plaisir sent-on autour...
Página 231 - FAUCHET: Recueil de l'origine de la langue et poésie françoise, ryme et romans. Plus les noms et sommaires des œuvres de cxxvii poètes François, vivans avant l'an m.ccc.
Página 30 - ... resuscitée en Italie, laquelle lire seule doit et peut animer les vers, et leur donner le juste poix de leur gravité...
Página 139 - Ayant tousjours és mains pour me servir de guide Aristote ou Platon, ou le docte Euripide, Mes bons hostes muets, qui ne faschent jamais : Ainsi que je les prens, ainsi je les remais.
Página 25 - Or', si quelqu'un après me vient blasmer de quoy Je ne suis plus si grave en mes vers que j'estoy A mon commencement, quand l'humeur Pindarique Enfloit empoulément ma bouche magnifique, '7* Dy luy que les amours ne se souspirent pas D'un vers hautement grave, ains d'un beau stille bas, Populaire et plaisant, ainsi qu'a fait Tibulle, L'ingénieux Ovide, et le docte Catulle...
Página 308 - C'est pour cela que bon le bon tu as suivi ', Ton Georges d'Armaignac, Cardinal qui enserre Tout le bien,& l'honneur, qui vient du ciel en terre», Et qui sans recevoir nul service de moi 44 Daigne louer ma Muse...
Página 34 - Marot (seule lumière en ses ans de la vulgaire poésie) se travailloit à la poursuite de son Psautier, et osai, le premier des nostres, enrichir ma langue de ce nom, Ode, comme l'on peut veoir par le titre d'une imprimée sous mon nom dedans le livre de...
Página 95 - ... qu'ils prétendent, n'est qu'une confession de leur ignorance : & que sans l'invention des nouveaus mots, les autres langues sentissent encores une toute telle pauvreté, que nous la sentons en la nôtre.
Página 239 - Encore vaudroit-il mieux, comme un bon bourgeois ou citoyen, rechercher et faire un Lexicon des vieils mots d'Artus, Lancelot, et Gauvain, ou commenter le Romant de la Rose, que s'amuser à je ne sçay quelle grammaire latine qui a passé son temps.