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gnons de la femme, rédigée par l'apôtre E. Barrault. Il a dû paraître de ce recueil plusieurs numéros; toutefois, nous ne connaissons que ceux des mois de janvier et février.

IV. * Compagnonage de la femme. Chant [six couplets]. Lyon, de l'impr. de Perret, 1833, in-8 de 4 pag.

V. * Au nom de Dieu père et mère de tous les hommes et de toutes les femmes, etc. Lyon, de l'impr. de Perret, 1833, in-8 de 4 pag.

Les cinq écrits que nous venons de citer ne sont pas les seuls que M. E. Barrault ait publiés l'indication des autres aurait peu d'intérêt aujourd'hui; aussi nous bornonsnous à renvoyer à la Bibliographie saintsimonienne » ceux de nos lecteurs qui voudraient connaître tous les écrits saint-simoniens de M. Barrault.

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VI. Occident et Orient. Études litiques, morales, religieuses, pendant 1853-1834 de l'ère chrétienne, 1249-1250 de l'hégyre. Paris, Desessart; Pougin, 1835, in-8 [8 fr.].

Un fragment de cet ouvrage avait paru dans le tome IV de la troisième série de la «Revue des Deux-Mondes,» sous le titre d'Une Noce à Constantinople.

VII. Guerre ou paix en Orient. Paris, Desessart, 1836, in-8 de 176 pag. [4 fr.].

VIII. Avec M. Cadalvène Histoire de la guerre de Méhémed-Ali contre la Porte-Ottomane, en Syrie et en AsieMineure [1831-1833]. Ouvrage enrichi de cartes, de plans et documents officiels. Paris. Arth. Bertrand, 1836, in-8 avec un portr. et 5 cartes [10 fr.]

IX. Eugène. Paris, Desessart, 1838, 2 vol. in-8 [16 fr.].

X. Coalition [la] et le ministère. Paris, Desessart, 1839, in-8 de 24 pag. [1 fr. 25 c.].

BARRÉ [P.-Yon], auteur dramatique. [Voy. la France littér., t. Ier, p. 189.] Ajoutez: ancien avocat au Parlement, et greffier à Pau, près le tribunal de la même ville, fonda le théâtre du Vaudeville, dont il fut le directeur. Il est mort à Paris, le 9 mai 1832.

BARRÉ [le baron de], réviseur des « Mémoires d'un pauvre hère [ par A. Delcourt, de Saint-Domingue], 1829, 4 vol. in-12.

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BARRE neveu,

médecin.

Maladies des voies urinaires. De la nécessité de la cautérisation antéropostérieure dans certains rétrécissements du canal de l'urètre. Paris, Germer-Baillière, 1859, in-8 de 64 pag., plus une planche [3 fr.].

BARRÉ DE JALLAIS [Lin-Leu-LôLuc], secrétaire-général du département d'Eure-et-Loir; né à Chartres, vers 1772.

I. Essai sur l'industrie, les mœurs, l'administration et les besoins de la Vendée. Paris, Chaigneau jeune ; Gérard, 1815, in-s.

II. Satires [les] de Juvenal, traduites en vers français, et suivies des Lettres à Philinte sur l'intelligence de ce poëte et ses beautés rapprochées de celles d'Horace dans les sujets traités par ces 1830, 2 vol. in-8 [15 fr.]. deux auteurs. Paris, Brissot-Thivars,

Le texte est en regard.

on trouve une courte notice sur M. Barré de Jallais dans la « Biographie universelle et portative des contemporains de MM. Rabbe, Boisjolin et Sainte-Preuve [tome Ier, p. 247]. BARRÉ VERSILLÉ, de La Ferté-Bernard.

I. Élégie à la mémoire des Polonais, morts pour la défense de leur patrie. Paris, de l'impr. de Mie, 1851, in-8 de

4 pag.

II. Discours [en vers] pour la séance solennelle de la distribution des prix qui aura lieu au pensionnat de La FerteBernard, le 29 août 1835. Le Mans, de l'impr. de Monnoyer, 1835, in-8 de 4 pag.

III. Élégie consacrée à la mémoire des victimes de la conspiration du 28 juillet 1833. Le Mans, de l'impr. de Monnoyer, 1835, in-8 de 4 pag.

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BARRÈS DU MOLARD [le vicomte Scipion FLEURY DE], naquit le 7 mai 1779, fit ses études au collége militaire dé Sorèze, et fut, en 1814 et 1815, membre des députations envoyées à Louis XVIII par le département de l'Ardèche et la ville de Privas. A cette occasion, le roi lui accorda le titre de « vicomte héréditaire, à cause de l'an«< cienneté de sa noblesse, des services de ses ancêtres, de ceux de son père, « en qualité d'officier supérieur et général, de sa conduite particulière, et « de son entier dévouement pour la « cause du roi. » Aussi M. Barrès offritil, au 15 mars, ses services contre Napoléon; il fut alors nommé chef de bataillon, et directeur du parc de l'artillerie des légions royales mobiles de Paris. Nous n'avons aucun renseignement sur son compte depuis cette époque. Il parait que M. le vicomte Barrès s'est adonné à l'étude de l'architecture civile, et les opuscules suivants publiés avec son nom, semblent le confirmer.

I. Nouveau système des ponts à grandes portées, ou Moyen économique de construire des arches de toutes grandeurs. Paris,Bachelier, 1827,in-4 [7 fr.]. II. Constructions: Ponts à grandes portées. Paris, de l'impr. de Mme Huzard-Courcier, 1827, in-8 de 12 pag.

Extrait des « Annales mensuelles. »

III. Du volume d'eau nécessaire à la ville de Marseille, à son territoire et à celui d'Aix. Marseille, de l'impr. d'Olive, 1835, in-4 de 12 pag.

BARRET [J.]. - Traité complet de comptabilité commerciale, dite à partie double. Carpentras, de l'impr. de Proyet fils, 1834, in-8.

BARRET [Hilaire-François], avocat à Toul.

Défense du citoyen Emmanuel Béchet, vivant-docteur en médecine, à Nanci, présentée à l'opinion publique, pour la justification de sa mémoire, et dédiée à M. et Mme Béchet. Nanci, Vidard et Jullien, 1834, in-8 de 24 pag. [20 c.].

BARRET [l'abbé], du diocèse de Périgueux.

Essai historique sur l'identité morale de la liberté avec la religion. Paris, rue de Seine-Saint-Germain, 16; Paul Méquignon, 1835, in-8.

BARRETO-FEIO. * Don Miguel, ses aventures scandaleuses, ses crimes et son usurpation; par un Portugais de distinction. Traduit par J.-B. Mesnard. Paris, Mesnard, 1833, in-8. [D. M.].

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BARREY [le baron Pierre-Edmond de], naquit en 1777, au château de Bordiguy en Normandie, et suça avec le lait les principes qui font considérer, par une classe de Français, une partie de leurs concitoyens comme des ilotes. Forcé de servir dans les gardes d'honneur de Napoléon, il fit quelques-unes de nos glorieuses campagnes; mais chargé, en 1815, d'aller prendre à Bordeaux le commandement d'une compagnie franche, il abandonna la cause de l'Empereur, se plaça sous les ordres du duc d'Angoulême et fut attaché, comme capitaine, à l'état-major des princes pendant la campagne de Belgique. Après la seconde restauration, il fut également attaché à l'état-major de la première division. On a du baron de Barrey :

I. France [la] délivrée, poëme. Bordeaux, 1814, in-8.

II. Cri [le] d'indignation, réponse à Méhée de la Touche....

III. Précis historique sur la maison du roi, depuis sa formation en 1814, jusqu'à sa réforme en 1815. Paris, Michaud, 1816, in-8 de 54 p. [1 fr. 25 c.].

IV. Pétition à la Chambre des dé

putés sur l'armée et ses besoins. Paris, A. Dupont, 1828, in-8 de 88 pag. Deuxième pétition à la Chambre des députés. Paris, Denain; Anselin, 1829, in-8 de 36 pag.

M. le baron de Barrey avait annoncé, en 1829, une Histoire de la Légion-d'Honneur, qui devait paraître en un vol. in-8, chez le libraire Denain; mais ce dernier en a publié une qui porte le nom de M. Saint-Maurice.

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BARRIER. Code des mines, ou Recueil des lois, arrêtés, décrets, ordonnances, etc., concernant les mines, minières, salines et carrières, etc. Lyon, Targe, 1829, in-8, avec une carte [4 fr.].

BARRIER [E.-H.]. Système [le] lé gal des nouveaux poids et mesures mis à la portée de tout le monde. Rouen, de l'impr. de Brière, 1839, in-8 de 32 pag. [1 fr.].

BARRIER [J.-A.]. Premier Mémoire sur les eaux médicinales naturelles de Celles, et sur la curabilité des affections tuberculeuses et du cancer. Valence, Charvin, 1838, in-8.

BARRIER. *Avec M. Gaubert: la Médecine des accidents. Manuel populaire dans lequel on indique les secours à donner, en l'absence du médecin, aux personnes atteintes d'accidents ou de certaines maladies dont le début est rapide et inattendu; avec un supplément relatif aux soins à donner aux animaux domestiques, en cas d'accidents ou de maladies; par un Médecin. Paris, Carilian-Goury, 1838, in-18 [1 fr. 75 c.].

BARRIÈRE [Daniel-Alexandre-François], auteur dramatique, et graveur géographe; né à Paris, en octobre 1792.

I. Avec M. M.-A. Désaugiers: le Mari en vacances, com.-vaud. en un acte [en prose]. Paris, Mme Masson, 1813, in-8.

II. Avec le même: Trois pour une, ou les Absents n'ont pas toujours tort, com.-vaud. en un acte. Paris, Ladvocat, 1816, in-8 [1 fr. 50 c.].

III. Avec M. Gentil: la Vendange normande, ou les Deux Voisins, vaudeville en un acte. [Nouv. édit.]. Paris, Mme Huet-Masson, sans date [1825], in-8 de 56 pag. [1 fr. 25 c.].

M. P.-J.-L. Barrière, frère de cet écrivain, et aussi graveur-géographe, a eu part à ces trois pièces.

IV. Avec M. Georges Duval : Mon bonnet de nuit, com.-vaud. en un acte. Paris, Marchant, 1855, in-8 à 2 colonn.

[20 c.].

V. Avec M. P. Tournemine: Oui ris, Barba; Marchant, 1835, in-8 [2 fr.]. et Non, com.-vaud. en deux actes. Pa

VI. Savetiers [les] francs-juges. Chronique messinaise en trois actes, mélée de chants. Paris, Michaud, 1838, in-8 à deux colonn. [40 c.].

BARRIÈRE [Jean-François 1, né à Paris, en 1766, fit de brillantes études au collège de Sainte- Barbe. Il se destinait à suivre la carrière du barreau, quand le préfet de la Seine, M. le comte Frochot, lui fit offrir, à dix-huit ans, un emploi dans son administration. Livré pendant long-temps aux seuls soins de la place qu'il occupait, M. Barrière donna, pour la première fois, en 1814, quelques articles de littérature dans la « Gazette de France.» Au commencement de 1813, il quitta la Gazette et travailla pour le «Journal de Paris, » qui était alors un journal d'opposition, sous la direction de M. Jay. Cette feuille ne conserva pas long-temps les mêmes rédacteurs ni le même esprit. M. Barrière devint, en 1816, l'un des collaborateurs du « Constitutionnel,» et continua d'y donner des articles jusqu'en 1820, époque a laquelle il cessa d'écrire dans les journaux. Il a publié, de concert avec M. Berville, la « Collection des Mémoires sur la révolution française, » en quarante volumes in-8; il a publié seul les <«< Mémoires de Mme Campan, » et les ouvrages que cette femme célèbre a laissés sur l'éducation. Chef de division à la préfecture du département de la Seine, M. Barrière avait concouru, eu 1814 et 1815, à l'organisation des hopitaux temporaires où furent traités d'a

bord les blessés français, et où l'on admit ensuite les soldats atteints du typhus. C'est pour prix de ses services dans cette circonstance que le roi le nomma chevalier de la Légion-d'Honneur, et qu'il a reçu, de LL. MM. l'empereur Alexandre et le roi de Prusse, les décorations de S. Wladimir et du Mérite. Aux ouvrages que nous avons cités précédemment, il faut ajouter les suivants :

I. Essai sur les mœurs et sur les usages du XVIIe siècle.

Imprimé en tête des «Mémoires inédits de Louis-Henri de LOMÉNIE, Comte de BRIENNE, publiés par M. F. Barrièré, 1828, 2 vol. in-8.

II. Tableaux de genre et d'histoire peints par différents maîtres, ou Morceaux inédits sur la régence, la jeunesse de Louis XV et le règne de Louis XVI; recueillis et publiés par F. Barrière. Paris, Ponthieu, 1828, in-8.

Parmi ces morceaux se trouvent dix lettres inédites de Diderot.

III. Cour [la] et la ville, sons Louis XIV, Louis XV et Louis XVI, ou Révélations historiques tirées de manuscrits inédits, publiés par F. Barrière. Paris, Dentu, 1829, in-8 [7 fr.]. BARRINGTON [Jonah], membre du parlement anglais.

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Rise and fall of the Irish nation. Paris, Bennis, 1833, in-8.

BARROIS [Jules], membre de la Société des sciences du Bas-Rhin.

Essai sur la solitude, considérée dans son influence sur la littérature en général et sur la littérature française spécialement. Discours prononcé à la Société des sciences du Bas-Rhin, le 6 novembre 1827. Strasbourg, de l'impr. de Levrault, 1828, in-8 de 50 pag.

BARROIS [J.],de Lille, député du département du Nord, à la Chambre septennale, se montra d'abord grand partisan des idées libérales. Il parcourut la Grèce pour y puiser cet enthousiasme sacré qu'excite dans les cœurs un sol jadis consacré aux arts et à la liberté. De retour dans sa patrie, M. Barrois fut nommé adjoint au maire de la ville de Lille, et donna bientôt sa démission pour ne point participer aux actes d'une administration dont lui-même avait signalé les abus. Malheureusement M. Barrois n'avait pas encore atteint l'âge

de l'éligibilité, et ses concitoyens furent forcés d'attendre qu'il eût accompli ses huit lustres pour lui témoigner combien ils estimaient son indépendance, en le chargeant de défendre les libertés de la patrie. Cette époque bienheureuse arriva enfin, et M. Barrois alla siéger au milieu des mandataires de la nation, où il prit place sur les bancs ministériels. Le crédit de M. Barrois est très-étendu; mais il n'en fait qu'un usage fort modéré. Il faut penser comme lui, c'està-dire comme il a pensé plus tard, pour obtenir son appui, et surtout avoir oublié ce que pensait M. Barrois avant sa nomination. On a de cet ancien député :

I. Protypographie, ou Librairies des fils du roi Jean. Paris, de l'impr. de Crapelet, 1830, in-4 de 44 p. et 6 planch.

Tiré à 50 exempl. C'est le discours préliminaire de l'ouvrage suivant.

II. Bibliothèque protypographique, ou Librairies des fils du roi Jean, Charles V, Jean de Berri, Philippe de Bourgogne et les siens. Paris, Treuttel et Wurtz, 1830, in-4, avec 6 planch. [27 fr.].

Ouvrage magnifiquement imprimé en caractères gothiques. Il n'a été tiré qu'à trèspetit nombre.

M. Barrois a transcrit, avec une religieuse fidélité, le texte des trois inventaires des bibliothèques de Bourgogne qui se trouvent dans les archives de Dijon; en faisant imprimer en belles gothiques les commencemens et deffinimens de chacun d'iceulx volumes. Nous aurions désiré, dit M. Florian Frocheur (*), qu'il se fût montré moins avare de notes, et qu'autant que possible, il eût désigné les manuscrits qui subsistent, ainsi que l'endroit où on les conserve, quoiqu'ils soient en majeure partie dans la Bibliothèque de Bourgogne, à

Bruxelles.

Peu de mois avant la publication du volume de M. Barrois, que nous citons, M. Gabr. Pei

gnot avait fait imprimer le « Catalogue d'une partie des livres composant l'ancienne bibliothèque des ducs de Bourgogne de la dernière race, d'après l'inventaire de leurs meubles au XVe siècle, etc. » [Dijon, et Paris, 1830, in-8 de 92 pag.1

«MM. Peignot et Barrois ont également pu« blié la liste des livres compris dans l'inven«taire du 16 mars 1477, rédigé par ordre de « Louis XI, à Dijon, après la mort de Charles«le-Téméraire. Mais il est à remarquer que «< ces deux savants bibliophiles français sont « ici en contradiction: M. Peignot désigne les « titres de quatre-vingt-un volumes, et M. Bar« rois, en parlant du même inventaire, n'en « signale que vingt-huit; cette différence est

(*) Dans une Notice sur la Bibliothèque de Bourgogne à Bruxelles, insérée au tome jer, p. 313 et suiv. du « Messager des sciences historiques de Belgique » [1839, in-8].

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notable, et l'une des deux listes est fautive, « bien qu'elles paraissent être rédigées toutes « les deux d'après l'inventaire original ("). » BARROIS [C.-L.]. Graphochirothésie, ou Instruction sur la position et les mouvements de l'écrivant et sur l'usage des chirotés [ poseur de la main], suivie d'exercices graphochirothésiques. Paris, Ducrocq; et Villers-Cotterets, l'Auteur,1839, in-12 de 48 p. plus 2 tabl. BARRON [J.]. Considérations générales sur l'instruction publique. Opuscule. Bordeaux, de l'impr. de Coudert, 1838, in-8 de 40 pag.

BARROT [Odilon], avocat, d'abord député de l'Eure, ensuite du Bas-Rhin, aujourd'hui de l'Aisne.

I. Plaidoyer dans l'affaire Touquet, prononcé devant la section criminelle de la Cour de cassation le 17 mars 1827. Paris, de l'impr. de Le Normant fils, 1827, in-4 de 16 pag.

II. Odilon Barrot, ancien député de l'Eure, à ses anciens commettants. Paris, de l'impr. de Dupont, 1851, in-8 de 8 p.

Cet honorable député a fait imprimer la même année quelques lettres à l'occasion des élections.

III. Lettre à MM. les électeurs [de Strasbourg]. Perpignan, de l'impr. de Mlle Tastu, 1851, in-4 de 2 pag.

IV. Plaidoyer [son] pour le «National.>> Imprimé dans : « Procès du National, au sujet des arrestations préventives pour délits de la presse. » [1832, in-8.]

V. Plaidoyer [son] pour le « Précurseur, » journal politique.

Imprimé dans « Procès du Précurseur.» [1832, in-8.]

VI. Lettre de M. Odilon Barrot à Nicolas Koechlin [publiée avec un avertissement par M. Nic. Kachlin]. Mulhausen, de l'impr. de Risler, 1832, in-8 de 28 pag.

VII. Discours [son] dans la discussion de l'adresse, répondant à M. le ministre de l'intérieur, séance du 29 novembre 1832. Paris, de l'impr. d'Auffray, 1832, in-8 de 16 pag.

VIII. Mémoire sur l'entrepôt de Paris, suivi de notes de la compagnie soumissionnaire de l'entrepôt sur les terrains de Tivoli, unis au port Saint-Ouen par un chemin de fer. Paris, de l'impr. d'Everat, 1833, in-8 de 52p. et un plan.

() M. Florian Frocheur, dans la Notice citée ci-dessus, pag. 325 et 326.

IX. Notice [de 20 pag.] sur l'Assemblée constituante.

Imprimée dans le tome IIe du « Bulletin annoté des lois,» par Lepec [1834].

X. Discours [son] dans la discussion des fonds secrets [1857]. Chambre des députés [5 mai]. Paris, Justin, 1837, in-8 de 16 pag.

XI. M. Odilon Barrot aux électeurs du 1er arrondissement de Paris. Paris, de l'impr. de Fournier, 1839, in-8 de 8 p.

XII. M. Odilon Barrot à ses co-électeurs de Chauny. Paris, de l'impr. de Fournier, 1839, in-8 de 8 pag.

M. Odilon Barrot a prononcé un grand nombre de discours et d'opinions à la chambre des députés, lesquels ont été imprimés dans tous les journaux: mais ceux cités dans cet article paraissent être les seuls qui aient été publiés à part.

Les principaux plaidoyers de M. Odilon Barrot ont été imprimés dans la partie moderne des «Annales du Barreau français,etc.. [1823 à 1831.]

Le nom de M. Odilon Barrot se lit sur les titres des premiers volumes de la Revue encyclopédique» [1819] parmi ceux des rédacteurs de ce recueil, et sur ceux du « Journalgénéral de législation et de jurisprudence. [1821].

BARROT [Ferdinand], avocat, à Paris, frère du précédent.

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Plaidoyer [son] dans l'affaire La

verdet.

Imprimé dans le « Procès de l'abbé Laverdet» [1837, in-8].

BARROT [Adolphe], consul-général de l'Indo-Chine, auteur d'une description des îles Sandwich, imprimée en 1839, dans le tom. XIX de la IVa série de la « Revue des Deux-Mondes. »

BARRUE [Sulpice], chef de cuisine, a revu, corrigé et augmenté de 150 recettes la Cuisinière de la campagne et de la ville de L.-E. A. [Audot]. [V. ce nom.]

BARRUEL [Jean-Pierre ] [ Voy. la France litter., tome Ier, page 1971. Ajoutez: neveu d'Étienne Barruel, ancien professeur de physique et de chimie à l'Ecole polytechnique; chimiste aussi modeste que distingué (*), membre de l'Académie royale de médecine et chef

(*) J.-P. Barruel était un excellent chimiste praticien, mais qui n'a jamais tenu à grand honneur de se faire imprimer : ses observations, il les communiquaît avec désintéressement aux uns et aux autres, qui se les appro priaient mais on ne doit pas passer sous silence qu'il a été, avec M. Isnard, l'un des propagateurs de la fabrication du sucre de betteraves, et que ce fut à ces deux Messieurs

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