Romain KalbrisE. Dentu, 1882 - 348 páginas |
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Palavras e frases frequentes
actinie ajoncs allait arriver assez avions Berar bête Biboche Bihorel bonnet de police Bouillie bras brick bruit c'était çà Cabriole caisse chose côté coucher coup crevette cria demander devant Diélette dis-je dit-il enfant étions faim faisait falaise fallait fatigue froid gendarme Havre HECTOR MALOT Hermann heures homme Honfleur Isigny j'ai j'allais j'avais j'en j'entendais j'étais j'eus jetée jour Kalbris l'eau l'école buissonnière l'Orénoque laisser Lapolade Leheu Lucien Hardel m'avait m'en m'étais main maison maman manger marcher marin matin mençaient ment mère monsieur mort n'avais n'était navire neige Neustrie nuit oncle pain passer pauvre pêche pensais père petite peur Port-Dieu Pouldu poussai pouvais Quetteville regardait restai rien rire ROMAIN KALBRIS rouf route s'arrêta sable sais Samedi sauver savais sembla sentis serais seulement soir sortir souper tangage tête trouver vagues vais vait venir vent veux Veux-tu village Villers-Bocage voiture voix voulait voulut voyage yeux
Passagens conhecidas
Página 126 - Dieu laissa-t-il jamais ses enfants au besoin ? Aux petits des oiseaux il donne leur pâture, Et sa bonté s'étend sur toute la nature.
Página 1 - DE ma position présente, il ne faut pas conclure que j'ai en la Fortune pour marraine. Mes ancêtres, si le mot n'est pas bien ambitieux, étaient des pêcheurs ; mou père était le dernier de onze enfants, et mon grand-père avait eu bien du mal à élever sa famille, car dans ce métier-la plus encore que dans les autres le gain n'est pas en proportion du travail ; compter sur de la fatigue, du danger, c'est le certain, sur un peu d'argent, le hasard. A dix-huit ans, mon père fut pris par l'inscription...
Página 1 - FKENCH. 1. TRANSLATE INTO ENGLISH: — DE ma position présente, il ne faut pas conclure que j'ai eu la Fortune pour marraine. Mes ancêtres, si le mot n'est pas bien ambitieux, étaient des pêcheurs; mou père était le dernier de onze enfants, et mon grand-père avait eu bien du mal...
Página 116 - Elle aperçut devant elle ... la lisière d'un bois ... et elle se dit que là peut-être elle trouverait un refuge, une carrière, un trou où elle se terrerait