Jocelyn: episode : journal trouvé chez un curé de village, Volume 2L. Hauman et compagnie, 1836 - 231 páginas |
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... amour comme un piége à mon cœur préparé , Sans toi , sans tes desseins , l'aurais - je rencontré ? N'en avais - je pas fui , tout brûlant et tout jeune ; Le péril inconnu dans la veille et le jeûne ; Pour sauver mon cœur chaste et ...
... amour comme un piége à mon cœur préparé , Sans toi , sans tes desseins , l'aurais - je rencontré ? N'en avais - je pas fui , tout brûlant et tout jeune ; Le péril inconnu dans la veille et le jeûne ; Pour sauver mon cœur chaste et ...
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... amour comme un piége à mon cœur préparé , Sans toi , sans tes desseins , l'aurais - je rencontré ? N'en avais - je pas fui , tout brûlant et tout jeune ; Le péril inconnu dans la veille et le jeûne ; Pour sauver mon cœur chaste et ...
... amour comme un piége à mon cœur préparé , Sans toi , sans tes desseins , l'aurais - je rencontré ? N'en avais - je pas fui , tout brûlant et tout jeune ; Le péril inconnu dans la veille et le jeûne ; Pour sauver mon cœur chaste et ...
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... descendu , Pauvre ange , prise au piége à l'homme seul tendu , Tendre enfant , par toi - même à mon sein confiée , Que par mon amour même , ô Dieu , sacrifiée , Proscrite de ces bras ouverts pour la porter , Elle SIXIÈME ÉPOQUE .
... descendu , Pauvre ange , prise au piége à l'homme seul tendu , Tendre enfant , par toi - même à mon sein confiée , Que par mon amour même , ô Dieu , sacrifiée , Proscrite de ces bras ouverts pour la porter , Elle SIXIÈME ÉPOQUE .
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... encor prier Au vaste sein de Dieu dont l'amour nous rassemble , Se rencontrer en lui , n'est - ce pas être ensemble ? 2 T ... De sa cellule à Grenoble , 14 mai 1797 . SIXIÈME ÉPOQUE . 13 Marchons en attendant, marchons tête baissée, ...
... encor prier Au vaste sein de Dieu dont l'amour nous rassemble , Se rencontrer en lui , n'est - ce pas être ensemble ? 2 T ... De sa cellule à Grenoble , 14 mai 1797 . SIXIÈME ÉPOQUE . 13 Marchons en attendant, marchons tête baissée, ...
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... amour , Se fussent conservés purs , seuls , sans autre garde Que l'œil toujours présent du Dieu qui les regarde . Ce soupçon est écrit pour moi sur tous les fronts ; Leur sainte charité m'épargne les affronts , Mais malgré la douceur ...
... amour , Se fussent conservés purs , seuls , sans autre garde Que l'œil toujours présent du Dieu qui les regarde . Ce soupçon est écrit pour moi sur tous les fronts ; Leur sainte charité m'épargne les affronts , Mais malgré la douceur ...
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Jocelyn: épisode : journal trouvé chez un curé de village Alphonse de Lamartine Visualização integral - 1897 |
Palavras e frases frequentes
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Passagens conhecidas
Página 81 - ... Formaient autour des troncs des cités , des villages, Et les hommes épars sur des gazons épais Mangeaient leur pain à l'ombre et conversaient en paix. Tout à coup comme atteints d'une rage insensée Ces hommes se levant à la même pensée...
Página 151 - Vit la montagne fondre et baisser à sa vue , Et quand il eut atteint son horizon nouveau , A son œil confondu tout parut de niveau. — Eh bien ! dit le soleil , tu vois, oiseau superbe, Si pour moi la montagne est plus haute que l'herbe.
Página 109 - Je touche avec amour leurs branches de la main, Comme de vieux amis de cœur je les aborde : Car dans l'isolement mon âme, qui déborde De ce besoin d'aimer, sa vie et son tourment, Au monde végétal s'unit par sentiment; Et si Dieu réduisait les plantes en poussière, J'embrasserais le sol et j'aimerais la pierre!... Je caresse en rentrant sur le mur de ma cour, L'aile de mes pigeons tout...
Página 120 - Enfonce plus avant le glaive qui les tranche ; Le timon plonge et tremble, et déchire ses doigts. La femme parle aux bœufs du geste et de la voix : Les animaux, courbés sur leur jarret qui plie, Pèsent de tout leur front sur le joug qui les lie ; Comme un cœur généreux leurs flancs battent d'ardeur; Ils font bondir le sol jusqu'en sa profondeur. L'homme presse ses pas, la femme suit à peine; Tous au bout du sillon arrivent hors d'haleine ; Ils s'arrêtent : le bœuf rumine , et les enfants...
Página 121 - Au titnon les bœufs accouplés , Et les coteaux multiplièrent Les grands peuples comme les blés ; Et les villes, ruches trop pleines, Débordèrent au sein des plaines ; Et les vaisseaux , grands alcyons , Comme à leurs nids les hirondelles , Portèrent sur leurs larges ailes Leur nourriture aux nations...
Página 145 - Bien pins que leur raison j'instruis leur conscience : La nature et leurs yeux , c'est toute ma science ! Je leur ouvre ce livre , et leur montre en tout lieu L'espérance de l'homme et la bonté de Dieu.
Página 119 - En deux monceaux poudreux les ailes les renversent. Ses racines à nu, ses herbes, se dispersent ; Ses reptiles, ses vers, par le soc déterrés, Se tordent sur son sein en tronçons torturés ; L'homme les foule aux pieds et secouant le manche Enfonce plus avant le glaive...
Página 126 - L'enlève et , suspendu , l'emporte à sa mamelle , L'endort en le berçant du sein sur ses genoux , Et s'endort elle-même un bras sur son époux ; Et sous le poids du jour la famille sommeille Sur la couche de terre , et le chien seul les veille; Et les anges de Dieu d'en haut peuvent les voir , Et les songes du ciel sur leurs têtes pleuvoir...
Página 103 - Marthe filait, assise en haut sur le palier. Son fuseau de sa main roula sur l'escalier; Elle leva sur moi son regard sans mot dire, Et, comme si son œil dans mon cœur eût pu lire, Elle m'ouvrit ma chambre et ne me parla pas. Le chien seul en jappant s'élança sur mes pas, Bondit autour de moi de joie et de tendresse, Se roula sur mes pieds enchaînés de caresse, Léchant mes mains, mordant mon habit, mon soulier, Sautant du seuil au lit, de la chaise au foyer, Fêtant toute la chambre, et semblant...
Página 124 - L'homme passe la main sur son front, sa voix baisse, Le soc glissant vacille entre ses doigts nerveux ; La sueur, de la femme imbibe les cheveux. Ils arrêtent le char à moitié de sa course ; Sur les flancs d'une roche ils vont lécher la source, Et, la lèvre collée au granit humecté, Savourent sa fraîcheur et son humidité. Oh! qu'ils boivent dans cette goutte L'oubli des pas qu'il faut marcher! Seigneur, que chacun sur sa route...