Jocelyn: episode : journal trouvé chez un curé de village, Volume 2L. Hauman et compagnie, 1836 - 231 páginas |
No interior do livro
Resultados 1-5 de 16
Página 20
... dernier plan des Alpes habité Un village à nos pas accessible en été , Et dont pendant huit mois la neige amoncelée Ferme tous les sentiers aux fils de la vallée , Là , dans quelques châlets , sur des pentes épars Quelques rares tribus ...
... dernier plan des Alpes habité Un village à nos pas accessible en été , Et dont pendant huit mois la neige amoncelée Ferme tous les sentiers aux fils de la vallée , Là , dans quelques châlets , sur des pentes épars Quelques rares tribus ...
Página 50
... dernier anneau du cœur va se briser Et ne tient plus peut - être , hélas ! qu'à ce baiser ! ... Elle a voulu revoir ce ciel de son enfance ,. Revenir et mourir au lieu de sa naissance ; Paris était pour elle un séjour étranger , Son ...
... dernier anneau du cœur va se briser Et ne tient plus peut - être , hélas ! qu'à ce baiser ! ... Elle a voulu revoir ce ciel de son enfance ,. Revenir et mourir au lieu de sa naissance ; Paris était pour elle un séjour étranger , Son ...
Página 50
... dernier anneau du cœur va se briser Et ne tient plus peut - être , hélas ! qu'à ce baiser ! ... Elle a voulu revoir ce ciel de son enfance ,. Revenir et mourir au lieu de sa naissance ; Paris était pour elle un séjour étranger , Son ...
... dernier anneau du cœur va se briser Et ne tient plus peut - être , hélas ! qu'à ce baiser ! ... Elle a voulu revoir ce ciel de son enfance ,. Revenir et mourir au lieu de sa naissance ; Paris était pour elle un séjour étranger , Son ...
Página 59
... dernier effort De sa vie expirante a brisé le ressort ! O nuit de l'agonie et de la délivrance Écris - toi dans mon ame en larmes d'espérance ! Je veillais , en priant , seul , au bord de son lit , L'étoile du matin parut , elle me dit ...
... dernier effort De sa vie expirante a brisé le ressort ! O nuit de l'agonie et de la délivrance Écris - toi dans mon ame en larmes d'espérance ! Je veillais , en priant , seul , au bord de son lit , L'étoile du matin parut , elle me dit ...
Página 60
... dernier baiser tu le lui donneras ! « Tu sais quels saints devoirs ce grand moment réclame , « Accomplis - les , mon fils , je te livre mon ame ! « Va , tu n'es plus pour moi que le prêtre de Dieu . » Oh ! béni soit celui qui du suprême ...
... dernier baiser tu le lui donneras ! « Tu sais quels saints devoirs ce grand moment réclame , « Accomplis - les , mon fils , je te livre mon ame ! « Va , tu n'es plus pour moi que le prêtre de Dieu . » Oh ! béni soit celui qui du suprême ...
Outras edições - Ver tudo
Jocelyn: episode : journal trouvé chez un curé de village, Volume 2 Alphonse de Lamartine Visualização integral - 1836 |
Jocelyn: episode : journal trouvé chez un curé de village, Volume 2 Alphonse de Lamartine Visualização integral - 1836 |
Jocelyn: episode : journal trouvé chez un curé de village, Volume 2 Alphonse de Lamartine Visualização integral - 1836 |
Palavras e frases frequentes
aime Alpes ALPHONSE DE LAMARTINE amour anges avalanches bénir bois bonheur bord bras brise bruit calice cercueil chamois champ chien ciel cieux cœur cœur brûlant couche coup croix curé CURÉ DE VILLAGE d'amour descend désert Dieu divin doux Éden enfans femme flancs fleurs flots front genoux glace glacier goutte Grindelwald hameau hélas homme humaine insectes instinct J'entendis jette JOCELYN jour l'ame l'ange l'autel l'herbe l'homme l'œil l'ombre l'onde laisser larmes Laurence lèvres main Maltaverne Marthe mer de glace mère monde montagnes monts moraine mort mourir murs mystère neige nuit ô ma sœur œil ombre pain pain noir paix pardon passé passereaux pauvre pensée peuple pieds pleurs précipices prêtre qu'un rayon regard rocher roule saint sanglots Seigneur semble sentiers sentiment seuil seul sillon soir soleil souffle sourire souvent tendre terre toit tombe tombeau torrent troncs vallée de Chamouny Valneige vent voit voix William Coxe yeux
Passagens conhecidas
Página 81 - ... Formaient autour des troncs des cités , des villages, Et les hommes épars sur des gazons épais Mangeaient leur pain à l'ombre et conversaient en paix. Tout à coup comme atteints d'une rage insensée Ces hommes se levant à la même pensée...
Página 151 - Vit la montagne fondre et baisser à sa vue , Et quand il eut atteint son horizon nouveau , A son œil confondu tout parut de niveau. — Eh bien ! dit le soleil , tu vois, oiseau superbe, Si pour moi la montagne est plus haute que l'herbe.
Página 109 - Je touche avec amour leurs branches de la main, Comme de vieux amis de cœur je les aborde : Car dans l'isolement mon âme, qui déborde De ce besoin d'aimer, sa vie et son tourment, Au monde végétal s'unit par sentiment; Et si Dieu réduisait les plantes en poussière, J'embrasserais le sol et j'aimerais la pierre!... Je caresse en rentrant sur le mur de ma cour, L'aile de mes pigeons tout...
Página 120 - Enfonce plus avant le glaive qui les tranche ; Le timon plonge et tremble, et déchire ses doigts. La femme parle aux bœufs du geste et de la voix : Les animaux, courbés sur leur jarret qui plie, Pèsent de tout leur front sur le joug qui les lie ; Comme un cœur généreux leurs flancs battent d'ardeur; Ils font bondir le sol jusqu'en sa profondeur. L'homme presse ses pas, la femme suit à peine; Tous au bout du sillon arrivent hors d'haleine ; Ils s'arrêtent : le bœuf rumine , et les enfants...
Página 121 - Au titnon les bœufs accouplés , Et les coteaux multiplièrent Les grands peuples comme les blés ; Et les villes, ruches trop pleines, Débordèrent au sein des plaines ; Et les vaisseaux , grands alcyons , Comme à leurs nids les hirondelles , Portèrent sur leurs larges ailes Leur nourriture aux nations...
Página 145 - Bien pins que leur raison j'instruis leur conscience : La nature et leurs yeux , c'est toute ma science ! Je leur ouvre ce livre , et leur montre en tout lieu L'espérance de l'homme et la bonté de Dieu.
Página 119 - En deux monceaux poudreux les ailes les renversent. Ses racines à nu, ses herbes, se dispersent ; Ses reptiles, ses vers, par le soc déterrés, Se tordent sur son sein en tronçons torturés ; L'homme les foule aux pieds et secouant le manche Enfonce plus avant le glaive...
Página 126 - L'enlève et , suspendu , l'emporte à sa mamelle , L'endort en le berçant du sein sur ses genoux , Et s'endort elle-même un bras sur son époux ; Et sous le poids du jour la famille sommeille Sur la couche de terre , et le chien seul les veille; Et les anges de Dieu d'en haut peuvent les voir , Et les songes du ciel sur leurs têtes pleuvoir...
Página 103 - Marthe filait, assise en haut sur le palier. Son fuseau de sa main roula sur l'escalier; Elle leva sur moi son regard sans mot dire, Et, comme si son œil dans mon cœur eût pu lire, Elle m'ouvrit ma chambre et ne me parla pas. Le chien seul en jappant s'élança sur mes pas, Bondit autour de moi de joie et de tendresse, Se roula sur mes pieds enchaînés de caresse, Léchant mes mains, mordant mon habit, mon soulier, Sautant du seuil au lit, de la chaise au foyer, Fêtant toute la chambre, et semblant...
Página 124 - L'homme passe la main sur son front, sa voix baisse, Le soc glissant vacille entre ses doigts nerveux ; La sueur, de la femme imbibe les cheveux. Ils arrêtent le char à moitié de sa course ; Sur les flancs d'une roche ils vont lécher la source, Et, la lèvre collée au granit humecté, Savourent sa fraîcheur et son humidité. Oh! qu'ils boivent dans cette goutte L'oubli des pas qu'il faut marcher! Seigneur, que chacun sur sa route...