Œuvres choisies de Delille ...Firmin Didot frères, 1850 - 530 páginas |
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... bruit et du silence , Rendra l'empire égal , et du trône des airs Entre l'ombre et le jour suspendra l'univers , Avant que des vents froids 4 le souffle la resserre , Tandis qu'elle est traitable , on façonne la terre : De tes taureaux ...
... bruit et du silence , Rendra l'empire égal , et du trône des airs Entre l'ombre et le jour suspendra l'univers , Avant que des vents froids 4 le souffle la resserre , Tandis qu'elle est traitable , on façonne la terre : De tes taureaux ...
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... bruit impétueux On entend les éclats ; tantôt les mers profondes Soulèvent en grondant et balancent leurs ondes , Tantôt court sur la plage un long mugissement , Et les noires forêts murmurent sourdement . Cuncta tibi Cererem pubes ...
... bruit impétueux On entend les éclats ; tantôt les mers profondes Soulèvent en grondant et balancent leurs ondes , Tantôt court sur la plage un long mugissement , Et les noires forêts murmurent sourdement . Cuncta tibi Cererem pubes ...
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... bruit , du haut des cieux s'élance ; Scylla vole et fend l'air ; Nisus vole et la suit ; Scylla , plus prompte encore , se détourne et s'enfuit . Même les noirs corbeaux , bannissant la tristesse , Annoncent les beaux jours par trois ...
... bruit , du haut des cieux s'élance ; Scylla vole et fend l'air ; Nisus vole et la suit ; Scylla , plus prompte encore , se détourne et s'enfuit . Même les noirs corbeaux , bannissant la tristesse , Annoncent les beaux jours par trois ...
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... bruit forêts , bergers , troupeaux ; Le prêtre , environné de victimes mourantes , Observe avec horreur leurs fibres menaçantes ; L'onde changée en sang roule des flots impurs ; Des loups hurlant dans l'ombre épouvantent nos murs ; Même ...
... bruit forêts , bergers , troupeaux ; Le prêtre , environné de victimes mourantes , Observe avec horreur leurs fibres menaçantes ; L'onde changée en sang roule des flots impurs ; Des loups hurlant dans l'ombre épouvantent nos murs ; Même ...
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... bruit de l'Achéron avare ! Mais trop heureux aussi qui suit les douces lois Et du dieu des troupeaux et des nymphes des bois ! La pompe des faisceaux , l'orgueil du diadèmie , L'intérêt 75 , dont la voix fait taire le sang même , 490 ...
... bruit de l'Achéron avare ! Mais trop heureux aussi qui suit les douces lois Et du dieu des troupeaux et des nymphes des bois ! La pompe des faisceaux , l'orgueil du diadèmie , L'intérêt 75 , dont la voix fait taire le sang même , 490 ...
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Oeuvres choisies de Delille: les géorgiques de Virgile, texte et traduction ... Jacques Delille Visualização integral - 1868 |
Palavras e frases frequentes
abeilles acanthi æquor æthera affreux amour arbres arbrisseaux arva atque beauté beaux jours bergers bocage bois bords bosquets brillants bruit Buffon Cérès champêtre champs chants char charme chéris ciel cieux cœur Columelle coteaux coursiers Cyrène débris Delille dieu dieux Dolon douce douleur doux eaux Élysée embellit enfants enfin essaims Eurydice féconde fleurs fleuve flots flumina forêts fruits Géorgiques gloire goût guérets hæc hameau Hélas heureux ipsa j'ai jardins jeune l'air l'art l'œil l'onde langue lieux loin main malheur maux mers miel moissons monts nature nectar neque nourrit nymphe ondes orbem Palès peuple Pitié plaisirs plante pleurs Pline poëme poésie poëte printemps propolis quæ quum rameaux riche rivage rochers rois Romains roule ruche ruisseaux sæpe sang sauvage scène séjour seul soins soleil sort tableaux Tantôt Taygète tendre terre Thessalie Thrace tremblant trésors triste troupeaux vallons Varron verdure vieillard vieux Virgile voix yeux zéphyr
Passagens conhecidas
Página 200 - ... c'est une créature qui renonce à son être pour n'exister que par la volonté d'un autre, qui sait même la prévenir; qui, par la promptitude et la précision de ses mouvements, l'exprime et l'exécute; qui sent autant qu'on le désire, et ne rend qu'autant qu'on veut; qui...
Página 200 - ... il fléchit sous la main de celui qui le guide, mais il semble consulter ses désirs, et obéissant toujours aux impressions qu'il en reçoit...
Página 209 - ... d'une ardeur nouvelle, le chien marque sa joie par les plus vifs transports, il annonce par ses mouvements et par ses cris l'impatience de combattre et le désir de vaincre; marchant ensuite en silence, il cherche à reconnaître le pays, à découvrir, à surprendre l'ennemi dans...
Página 341 - ... ce modeste et pieux presbytère ? Là vit l'homme de Dieu, dont le saint ministère Du peuple réuni présente au ciel les vœux. Ouvre sur le hameau tous les trésors des cieux , Soulage le malheur, consacre l'hyménée, Bénit et les moissons et les fruits de l'année ; Enseigne la vertu , recoit l'homme au berceau , Le conduit dans la vie, et le suit au tombeau.
Página 94 - Sollicitant alii remis freta caeca, ruuntque in ferrum, penetrant aulas et limina regum ; hic petit excidiis urbem miserosque penates, 505 ut gemma bibat et Sarrano dormiat ostro ; condit opes alius defossoque incubat auro...
Página 415 - O fortuné séjour ! ô champs aimés des cieux ! Que, pour jamais foulant vos prés délicieux , Ne puis-je ici fixer ma course vagabonde, Et , connu de vous seuls , oublier tout le monde...
Página 200 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal , qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats : aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l'affronte ; il se fait au bruit des armes, il l'aime, il le cherche et s'anime, de la même ardeur : il partage aussi ses plaisirs ; à la chasse , aux tournois, à la course, il brille, il étincelle.
Página 92 - D'agréables poisons ne brûlent point ses veines; Tyr n'altéra jamais la blancheur de ses laines; II n'a point tous ces arts qui trompent notre ennui; Mais que lui manque-t-il? la nature est à lui. Des grottes("'), des étangs, une claire fontaine Dont l'onde, en murmurant, l'endort sous un vieux chêne; Un troupeau qui mugit, des vallons, des forêts; Ce sont là ses trésors, ce sont là ses palais. C'est dans les champs qu'on trouve une mâle jeunesse; C'est là qu'on...
Página 520 - Impossible encore ; il se laissa • alors conduire à l'endroit , où on l'attacha et où il s'est écrié très-haut : « Peuple, je meurs innocent! Ensuite, se retournant vers nous, il • nous dit : Messieurs, je suis innocent de tout ce dont on m'inculpe. Je • souhaite que mon sang puisse cimenter le bonbeur des Français. Voilà, « citoyen , ses dernières et véritables paroles.
Página 16 - Un jour le laboureur, dans ces mêmes sillons Où dorment les débris de tant de bataillons, Heurtant avec le soc leur antique dépouille, Trouvera, plein d'effroi, des dards rongés de rouille, Verra de vieux tombeaux sous ses pas s'écrouler, Et des soldats romains les ossements rouler.