Œuvres choisies de Delille ...Firmin Didot frères, 1850 - 530 páginas |
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... douleur profonde , Tout annonçait nos maux : le ciel , la terre et l'onde , Les hurlements des chiens et le cri des oiseaux . Combien de fois l'Etna 72 , brisant ses arsenaux , Parmi des rocs ardents , des flammes ondoyantes , Vomit en ...
... douleur profonde , Tout annonçait nos maux : le ciel , la terre et l'onde , Les hurlements des chiens et le cri des oiseaux . Combien de fois l'Etna 72 , brisant ses arsenaux , Parmi des rocs ardents , des flammes ondoyantes , Vomit en ...
Página 115
... douleur éperdus , Ni son amante , hélas ! qui meurt s'il ne vit plus . Vois combattre 34 le lynx , le chien , le cerf lui - même ; N'entends - tu pas le loup.hurler pour ce qu'il aime ? Des cavales surtout rien n'égale les feux ; Vénus ...
... douleur éperdus , Ni son amante , hélas ! qui meurt s'il ne vit plus . Vois combattre 34 le lynx , le chien , le cerf lui - même ; N'entends - tu pas le loup.hurler pour ce qu'il aime ? Des cavales surtout rien n'égale les feux ; Vénus ...
Página 126
... douleur , pénétrant jusqu'aux os , D'un sang séditieux fait bouillonner les flots , Sous le pied des brebis que la fièvre ravage Qu'à ces flots jaillissants le fer ouvre un passage ; Art connu , dans le Nord 58 , de ces peuples ...
... douleur , pénétrant jusqu'aux os , D'un sang séditieux fait bouillonner les flots , Sous le pied des brebis que la fièvre ravage Qu'à ces flots jaillissants le fer ouvre un passage ; Art connu , dans le Nord 58 , de ces peuples ...
Página 129
... douleur violente ; Mais ses forces bientôt 61 se changeant en fureur ( O ciel ! loin des Romains ces transports pleins d'horreur ! ) , L'animal frénétique , à son heure dernière , Tournait contre lui - même une dent meurtrière . Voyez ...
... douleur violente ; Mais ses forces bientôt 61 se changeant en fureur ( O ciel ! loin des Romains ces transports pleins d'horreur ! ) , L'animal frénétique , à son heure dernière , Tournait contre lui - même une dent meurtrière . Voyez ...
Página 146
... douleur et connaissent les maux ; Des symptômes certains toujours en avertissent : Leur corps est décharné , leurs couleurs se flétrissent ; Plias , et Oceani spretos pede reppulit amnes ; Aut eadem sidus fugiens ubi Piscis aquosi ...
... douleur et connaissent les maux ; Des symptômes certains toujours en avertissent : Leur corps est décharné , leurs couleurs se flétrissent ; Plias , et Oceani spretos pede reppulit amnes ; Aut eadem sidus fugiens ubi Piscis aquosi ...
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Oeuvres choisies de Delille: les géorgiques de Virgile, texte et traduction ... Jacques Delille Visualização integral - 1868 |
Palavras e frases frequentes
abeilles acanthi æquor æthera affreux amour arbres arbrisseaux arva atque beauté beaux jours bergers bocage bois bords bosquets brillants bruit Buffon Cérès champêtre champs chants char charme chéris ciel cieux cœur Columelle coteaux coursiers Cyrène débris Delille dieu dieux Dolon douce douleur doux eaux Élysée embellit enfants enfin essaims Eurydice féconde fleurs fleuve flots flumina forêts fruits Géorgiques gloire goût guérets hæc hameau Hélas heureux ipsa j'ai jardins jeune l'air l'art l'œil l'onde langue lieux loin main malheur maux mers miel moissons monts nature nectar neque nourrit nymphe ondes orbem Palès peuple Pitié plaisirs plante pleurs Pline poëme poésie poëte printemps propolis quæ quum rameaux riche rivage rochers rois Romains roule ruche ruisseaux sæpe sang sauvage scène séjour seul soins soleil sort tableaux Tantôt Taygète tendre terre Thessalie Thrace tremblant trésors triste troupeaux vallons Varron verdure vieillard vieux Virgile voix yeux zéphyr
Passagens conhecidas
Página 200 - ... c'est une créature qui renonce à son être pour n'exister que par la volonté d'un autre, qui sait même la prévenir; qui, par la promptitude et la précision de ses mouvements, l'exprime et l'exécute; qui sent autant qu'on le désire, et ne rend qu'autant qu'on veut; qui...
Página 200 - ... il fléchit sous la main de celui qui le guide, mais il semble consulter ses désirs, et obéissant toujours aux impressions qu'il en reçoit...
Página 209 - ... d'une ardeur nouvelle, le chien marque sa joie par les plus vifs transports, il annonce par ses mouvements et par ses cris l'impatience de combattre et le désir de vaincre; marchant ensuite en silence, il cherche à reconnaître le pays, à découvrir, à surprendre l'ennemi dans...
Página 341 - ... ce modeste et pieux presbytère ? Là vit l'homme de Dieu, dont le saint ministère Du peuple réuni présente au ciel les vœux. Ouvre sur le hameau tous les trésors des cieux , Soulage le malheur, consacre l'hyménée, Bénit et les moissons et les fruits de l'année ; Enseigne la vertu , recoit l'homme au berceau , Le conduit dans la vie, et le suit au tombeau.
Página 94 - Sollicitant alii remis freta caeca, ruuntque in ferrum, penetrant aulas et limina regum ; hic petit excidiis urbem miserosque penates, 505 ut gemma bibat et Sarrano dormiat ostro ; condit opes alius defossoque incubat auro...
Página 415 - O fortuné séjour ! ô champs aimés des cieux ! Que, pour jamais foulant vos prés délicieux , Ne puis-je ici fixer ma course vagabonde, Et , connu de vous seuls , oublier tout le monde...
Página 200 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal , qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats : aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l'affronte ; il se fait au bruit des armes, il l'aime, il le cherche et s'anime, de la même ardeur : il partage aussi ses plaisirs ; à la chasse , aux tournois, à la course, il brille, il étincelle.
Página 92 - D'agréables poisons ne brûlent point ses veines; Tyr n'altéra jamais la blancheur de ses laines; II n'a point tous ces arts qui trompent notre ennui; Mais que lui manque-t-il? la nature est à lui. Des grottes("'), des étangs, une claire fontaine Dont l'onde, en murmurant, l'endort sous un vieux chêne; Un troupeau qui mugit, des vallons, des forêts; Ce sont là ses trésors, ce sont là ses palais. C'est dans les champs qu'on trouve une mâle jeunesse; C'est là qu'on...
Página 520 - Impossible encore ; il se laissa • alors conduire à l'endroit , où on l'attacha et où il s'est écrié très-haut : « Peuple, je meurs innocent! Ensuite, se retournant vers nous, il • nous dit : Messieurs, je suis innocent de tout ce dont on m'inculpe. Je • souhaite que mon sang puisse cimenter le bonbeur des Français. Voilà, « citoyen , ses dernières et véritables paroles.
Página 16 - Un jour le laboureur, dans ces mêmes sillons Où dorment les débris de tant de bataillons, Heurtant avec le soc leur antique dépouille, Trouvera, plein d'effroi, des dards rongés de rouille, Verra de vieux tombeaux sous ses pas s'écrouler, Et des soldats romains les ossements rouler.