Œuvres choisies de Delille ...Firmin Didot frères, 1850 - 530 páginas |
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... air en flamme , avec des yeux débiles , Ces comètes d'airain qui renversaient nos villes ; Non , non tes faux amis l'ont en vain publié ; Je ne le croirai point : ils t'ont calomnié . « Oui sans doute , dit M. Amar , tous ceux qui ont ...
... air en flamme , avec des yeux débiles , Ces comètes d'airain qui renversaient nos villes ; Non , non tes faux amis l'ont en vain publié ; Je ne le croirai point : ils t'ont calomnié . « Oui sans doute , dit M. Amar , tous ceux qui ont ...
Página 15
... air d'un almanach en vers . On retrouve , il est vrai , la nature dans sa poésie ; mais ce n'est pas toujours la belle nature . Il n'est pas plus judicieux dans ses pré- ceptes , qui souvent sont entassés sans choix , chargés de détails ...
... air d'un almanach en vers . On retrouve , il est vrai , la nature dans sa poésie ; mais ce n'est pas toujours la belle nature . Il n'est pas plus judicieux dans ses pré- ceptes , qui souvent sont entassés sans choix , chargés de détails ...
Página 24
... air invite à la gaieté , enflamme l'imagination , aug- mente le babil : les mots y sont allon- gés , abondants ; la nature ne présente que des objets riants : les mots y sont doux et flatteurs . Dans les pays du Nord l'organe est ...
... air invite à la gaieté , enflamme l'imagination , aug- mente le babil : les mots y sont allon- gés , abondants ; la nature ne présente que des objets riants : les mots y sont doux et flatteurs . Dans les pays du Nord l'organe est ...
Página 34
... air , qu'il commence à braver , Le rejeton moins frêle ose enfin s'élever , Pardonne à son audace , en faveur de son âge ; Seulement de ta main éclaircis son feuillage . Mais enfin , quand tu vois ses robustes rameaux Par des nœuds ...
... air , qu'il commence à braver , Le rejeton moins frêle ose enfin s'élever , Pardonne à son audace , en faveur de son âge ; Seulement de ta main éclaircis son feuillage . Mais enfin , quand tu vois ses robustes rameaux Par des nœuds ...
Página 58
... air frémit d'horribles sifflements ; En torrents redoublés les vastes cieux se fondent ; La rive au loin gémit , et les bois lui répondent . Pour prévenir ces maux , lis aux voûtes des cieux ; Suis dans son cours errant le messager des ...
... air frémit d'horribles sifflements ; En torrents redoublés les vastes cieux se fondent ; La rive au loin gémit , et les bois lui répondent . Pour prévenir ces maux , lis aux voûtes des cieux ; Suis dans son cours errant le messager des ...
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Oeuvres choisies de Delille: les géorgiques de Virgile, texte et traduction ... Jacques Delille Visualização integral - 1868 |
Palavras e frases frequentes
abeilles acanthi æquor æthera affreux amour arbres arbrisseaux arva atque beauté beaux jours bergers bocage bois bords bosquets brillants bruit Buffon Cérès champêtre champs chants char charme chéris ciel cieux cœur Columelle coteaux coursiers Cyrène débris Delille dieu dieux Dolon douce douleur doux eaux Élysée embellit enfants enfin essaims Eurydice féconde fleurs fleuve flots flumina forêts fruits Géorgiques gloire goût guérets hæc hameau Hélas heureux ipsa j'ai jardins jeune l'air l'art l'œil l'onde langue lieux loin main malheur maux mers miel moissons monts nature nectar neque nourrit nymphe ondes orbem Palès peuple Pitié plaisirs plante pleurs Pline poëme poésie poëte printemps propolis quæ quum rameaux riche rivage rochers rois Romains roule ruche ruisseaux sæpe sang sauvage scène séjour seul soins soleil sort tableaux Tantôt Taygète tendre terre Thessalie Thrace tremblant trésors triste troupeaux vallons Varron verdure vieillard vieux Virgile voix yeux zéphyr
Passagens conhecidas
Página 200 - ... c'est une créature qui renonce à son être pour n'exister que par la volonté d'un autre, qui sait même la prévenir; qui, par la promptitude et la précision de ses mouvements, l'exprime et l'exécute; qui sent autant qu'on le désire, et ne rend qu'autant qu'on veut; qui...
Página 200 - ... il fléchit sous la main de celui qui le guide, mais il semble consulter ses désirs, et obéissant toujours aux impressions qu'il en reçoit...
Página 209 - ... d'une ardeur nouvelle, le chien marque sa joie par les plus vifs transports, il annonce par ses mouvements et par ses cris l'impatience de combattre et le désir de vaincre; marchant ensuite en silence, il cherche à reconnaître le pays, à découvrir, à surprendre l'ennemi dans...
Página 341 - ... ce modeste et pieux presbytère ? Là vit l'homme de Dieu, dont le saint ministère Du peuple réuni présente au ciel les vœux. Ouvre sur le hameau tous les trésors des cieux , Soulage le malheur, consacre l'hyménée, Bénit et les moissons et les fruits de l'année ; Enseigne la vertu , recoit l'homme au berceau , Le conduit dans la vie, et le suit au tombeau.
Página 94 - Sollicitant alii remis freta caeca, ruuntque in ferrum, penetrant aulas et limina regum ; hic petit excidiis urbem miserosque penates, 505 ut gemma bibat et Sarrano dormiat ostro ; condit opes alius defossoque incubat auro...
Página 415 - O fortuné séjour ! ô champs aimés des cieux ! Que, pour jamais foulant vos prés délicieux , Ne puis-je ici fixer ma course vagabonde, Et , connu de vous seuls , oublier tout le monde...
Página 200 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal , qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats : aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l'affronte ; il se fait au bruit des armes, il l'aime, il le cherche et s'anime, de la même ardeur : il partage aussi ses plaisirs ; à la chasse , aux tournois, à la course, il brille, il étincelle.
Página 92 - D'agréables poisons ne brûlent point ses veines; Tyr n'altéra jamais la blancheur de ses laines; II n'a point tous ces arts qui trompent notre ennui; Mais que lui manque-t-il? la nature est à lui. Des grottes("'), des étangs, une claire fontaine Dont l'onde, en murmurant, l'endort sous un vieux chêne; Un troupeau qui mugit, des vallons, des forêts; Ce sont là ses trésors, ce sont là ses palais. C'est dans les champs qu'on trouve une mâle jeunesse; C'est là qu'on...
Página 520 - Impossible encore ; il se laissa • alors conduire à l'endroit , où on l'attacha et où il s'est écrié très-haut : « Peuple, je meurs innocent! Ensuite, se retournant vers nous, il • nous dit : Messieurs, je suis innocent de tout ce dont on m'inculpe. Je • souhaite que mon sang puisse cimenter le bonbeur des Français. Voilà, « citoyen , ses dernières et véritables paroles.
Página 16 - Un jour le laboureur, dans ces mêmes sillons Où dorment les débris de tant de bataillons, Heurtant avec le soc leur antique dépouille, Trouvera, plein d'effroi, des dards rongés de rouille, Verra de vieux tombeaux sous ses pas s'écrouler, Et des soldats romains les ossements rouler.