L'Énéide, Volume 1Giguet et Michaud, 1809 |
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... hommes les grandes discordes des cieux et les terribles combats des bons et des mauvais anges . C'est au milieu de la description des batailles qu'Herminie est emportée par son cheval vers les habitations champêtres , et qu'elle prête ...
... hommes les grandes discordes des cieux et les terribles combats des bons et des mauvais anges . C'est au milieu de la description des batailles qu'Herminie est emportée par son cheval vers les habitations champêtres , et qu'elle prête ...
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... hommes , le ciel , la terre et les enfers ; lui seul peut satisfaire ce besoin que nous avons de choses extraordinaires ; lui seul peut , au gré du poëte , retarder , précipiter , prolonger l'action épique ; et quoi qu'en ait dit l ...
... hommes , le ciel , la terre et les enfers ; lui seul peut satisfaire ce besoin que nous avons de choses extraordinaires ; lui seul peut , au gré du poëte , retarder , précipiter , prolonger l'action épique ; et quoi qu'en ait dit l ...
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... hommes , étant subordonnés aux puissances célestes , ne parussent que des instrumens et des machines . Aussi le poëte doit - il éviter dans ses fictions de montrer les volontés et les passions de ses héros , sources si fécondes d'in ...
... hommes , étant subordonnés aux puissances célestes , ne parussent que des instrumens et des machines . Aussi le poëte doit - il éviter dans ses fictions de montrer les volontés et les passions de ses héros , sources si fécondes d'in ...
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... hommes . Concluons de ces observations que le merveilleux ne doit commencer que là où les hommes cesseroient de nous intéresser par eux - mêmes . L'Éneïde nous offre le merveilleux dans toute sa pompe et dans toute sa dignité . Les ...
... hommes . Concluons de ces observations que le merveilleux ne doit commencer que là où les hommes cesseroient de nous intéresser par eux - mêmes . L'Éneïde nous offre le merveilleux dans toute sa pompe et dans toute sa dignité . Les ...
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... hommes , des peuples et des âges . Ainsi l'on peut dire que le Tasse et Milton écrivirent leurs poëmes dans des siècles tels que le poëte épique pouvoit les désirer : l'Angleterre et l'Italie étoient alors religieuses jus- qu'à la ...
... hommes , des peuples et des âges . Ainsi l'on peut dire que le Tasse et Milton écrivirent leurs poëmes dans des siècles tels que le poëte épique pouvoit les désirer : l'Angleterre et l'Italie étoient alors religieuses jus- qu'à la ...
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Palavras e frases frequentes
Achate Achille admirable Æneas æquora æthera affreux Anchise antique arma armis arva Ascagne asile atque avoit beauté belle bords bras Carthage ciel cieux circùm cœur combats conjux courroux cùm d'Hector d'Homère d'Ilion Danaûm déesse destin Dido Didon dieux divûm doux Énée enfans Éole épique Etna étoit fata fils flamme flots fluctus foible fuit fureur genitor Grecs guerriers hæc Haud Hector héros heureux hîc Hinc Homère Idem Ilion ille imitative ingens inter ipse Italiam j'ai Jamque Junon Jupiter l'Eneide l'onde Latium lieux limina littora magna main malheureux mers mihi moenia monstre mort Mycenas navibus neque numine nunc omnes oris palais Pallas paroît pater peinture pelago père Pergame peuple pleurs poëme poésie poëte Priam primùm Pyrrhus quà quæ quò rivage Romains sang sort superbe talia tectis tempête temple Ténédos terre tibi Troie Troja Troyens Turnus urbe urbem vainqueurs vaisseaux vents Vénus Virgile yeux
Passagens conhecidas
Página 70 - Tum, pietate gravem ac meritis si forte virum quem Conspexere, silent, arrectisque auribus adstant ; Ille regit dictis animos, et pectora mulcet...
Página 372 - Il n'est point de serpent , ni de monstre odieux , Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux.
Página 137 - Je chante les combats, et ce prélat terrible, Qui, par ses longs travaux et sa force invincible, Dans une illustre église exerçant son grand cœur. Fit placer à la fin un lutrin dans le. chœur, C'est en vain que le chantre, abusant d'un faux titre, Deux fois l'en fit ôter par les mains du chapitre : Ce prélat, sur le banc de son rival allier, Deux fois le reportant, l'en couvrit tout entier.
Página 98 - Instant ardentes Tyrii, pars ducere muros Molirique arcem et manibus subvolvere saxa, Pars optare locum tecto et concludere sulco ; 415 Jura magistratusque legunt sanctumque senatum ; Hie portus alii effodiunt : hie alta theatri Fundamenta locant alii, immanesque columnas Rupibus excidunt, scenis decora alta futuris.
Página 172 - Et quorum pars magna fui. Quis talia fando Myrmidonum Dolopumve aut duri miles Ulixi Temperet a lacrimis ! et iam nox umida caelo Praecipitat, suadentque cadentia sidera somnos.
Página 176 - Laocoon ardens summa decurrit ab arce ; et procul : ' o miseri, quae tanta insania, cives ? creditis avectos hostes ? aut ulla putatis dona carere dolis Danaum ? sic notus Ulixes ? aut hoc inclusi ligno occultantur Achivi, aut haec in nostros fabricata est machina muros inspectura domos venturaque desuper urbi ; aut aliquis latet error : equo ne credite, Teucri. quidquid id est, timeo Danaos et dona ferentes.
Página 387 - En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser ; Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chairs meurtris, et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Página 193 - L'enveloppe, l'étouffe, arrache de son flanc D'affreux lambeaux suivis de longs ruisseaux de sang. Leur père accourt : tous deux à son tour le saisissent, D'épouvantables nœuds tout entier l'investissent ; Deux fois par le milieu leurs plis l'ont embrassé...
Página 172 - Infandum, Regina, jubes renovare dolorem, Trojanas ut opes et lamentabile regnum Eruerint Danai ; quaeque ipse miserrima vidi, 5 Et quorum pars magna fui.
Página 275 - Entrant à la lueur de nos palais brûlants Sur tous mes frères morts se faisant un passage; Et de sang tout couvert échauffant le carnage Songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans la flamme étouffés sous le fer expirants.