| Victor Hugo - 1858 - 368 páginas
...ingénu, Son petit pied dans l'eau pure; Je ne vis pas son pied nu. Je ne savais que lui dire ; Je la suivais dans le bois, La voyant parfois sourire Et...pensons plus! » dit-elle. Depuis, j'y pense toujours. Paris, juin 1831 . XX A UN POETE AVEUGLE Merci, poete! — au seuil de mes lares pieux, Comme un hôte... | |
| Victor Hugo - 1858 - 374 páginas
...Je ne vis pas son pied nu. Je ne savais que lui dire ; Je la suivais dans le bois, LIVRE PREMIER. 87 La voyant parfois sourire Et soupirer quelquefois....pensons plus! » dit-elle. Depuis, j'y pense toujours. Paris, juin 1931. XX A UN POETE AVKLGLE Merci, poëte! — au seuil de mes lares pieux, Comme un hôte... | |
| Victor Hugo - 1858 - 782 páginas
...ne vis pas son pied nu. Je ne savais que lui dire ; Je la suivais dans le bois. LIVRE PREMIER. »7 La voyant parfois sourire Et soupirer quelquefois....était belle Qu'en sortant des grands bois sourds. r< Soit; n'y pensons plus! » dit-elle. Depuis, j'y pense toujours. Paris, jnio I13I. XX A UN POETE... | |
| 1862 - 658 páginas
...Lee rossignols chantaient Rosé, Et les merles me sifflaient." îlîlerliebft ift bann ber @ф!и|: „Je ne vis qu'elle était belle Qu'en sortant des grands bois sourds. Soit, n'y pensons plus, dit elle. Depuis j'y pense toujours!" 9?оф feuriger fítngt bie fprubelnbe íebenSíuft an in bem... | |
| Victor Hugo - 1869 - 384 páginas
...Je ne vis pas son pied nu. Je ne savais que lui dire; Je la suivais dans le bois, LIVRE PREMIER «7 La voyant parfois sourire Et soupirer quelquefois....pensons plus ! » dit-elle. Depuis, j'y pense toujours. Paris, juin 18-11. XX A UN POËTE AVEUGLE Merci, poete ! — au seuil de mes lares pieux, Comme un... | |
| Friedrich Alexander Theodor Kreyssig - 1865 - 546 páginas
...Les rossignols chantaient Rosé, Et les merles me sifflaient." Sllíerííebfí ift bann ber @^tufj: „Je ne vis qu'elle était belle Qu'en sortant des grands bois sourds. Soit, n'y pensons plus, dit elle. Depuis j'y pense toujours!" 9^оф feuriger fîingt bte fprubeinbe Sebenêluft an in bem... | |
| 1877 - 972 páginas
...distrait, la fille plus dégourdie et plus experte aux choses de l'amour, et le dénoûment est pareil : Je ne vis qu'elle était belle Qu'en sortant des grands bois sourds. — Soit ! n'y pensons plu», dit-elle. — Depuis j'y pense toujours... Mais, entre les mains du grand poète, le sauvageon,... | |
| François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1877 - 986 páginas
...fille plus dégourdie et plus experte aux choses de l'amour, et le dénoûment est pareil : Je ne ris qu'elle était belle Qu'en sortant des grands bois sourds. — Soit ! n'y pensons pi us, dit-elle. — Depuis j'y pense toujours... Mais, entre les mains du grand poète, le sauvageon,... | |
| André Theuriet - 1878 - 344 páginas
...distrait, la fille plus dégourdie et plus experte aux choses de l'amour, et le dénouaient, est pareil: Je ne vis qu'elle était belle Qu'en sortant des grands...pensons plus, dit-elle. — Depuis j'y pense toujours... Mais, entre les mains du grand poète, le sau• .-. . ET LA VIE RUSTIQUE 295 vageon, arraché au fond... | |
| 1882 - 208 páginas
...savais que lui dire; Je la suivais dans les bois, La voyant parfois sourire Et soupirer quelque fois. Je ne vis qu'elle était belle Qu'en sortant des grands...pensons plus!" dit-elle. Depuis, j'y pense toujours. VICTOR HUGO. L L'ENFANCE. "ENFANT chantait; la mère au lit exténuée, Agonisait, beau front dans... | |
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