Planche XXIX. Planche XXXI. Planche XXX.1 2. "9 Fig. 1. Planche XXXII. Planche XXXIII. Planche Planche XXXVI. Planche XXXVII. Planche XXXVIII. Travaux de mines dans le (Fig. 1. Au Buchenberg à Elbingerode schiste argi (p. 278). leux et dans la 2. Au Stahlberg à Musen (p. 279). Planche XXXIX. grauwacke. Fig. 1. Stack of Hempriggs, pont naturel sur la côte d'Ecosse (p. 292). Pont naturel de la vallée d'Icononzo (p. 293). La grotte de Jupiter à Naxos (p. 279). Ossemens d'animaux dans la vase des cavernes 2. "9 Fig. 1. " Fig. 1. 2. } Crâne et corne d'un rhinoceros (p. 330). 4. "9 Planche Forêt vierge de l'île Gouahan, l'une des Marianes (p. XXXIV. 359). Arbres restés Fig. 1. a. Calamites Suckowii (p. 394). 2. 1. b. Sphaenopteris elegans (p. 393). 3. Lepidodendron obovatum (p. 394). Inflexions des couches du terrain houiller sur 2. Glissemens dans le terrain houiller de Sarre 4. 39 Fig. 1. 2. 3. " Fig. 1. 3. bruck (p. 413). 3. Couches contournées d'une manière singulière de houille à SIII. OBSERVATIO De la Gastrit ( A MES PRÍNCIPES men wauchitin .. ont été " Lonexpression réelle; c'est formuler d'après son langage, mais S III. DES EPREUVES QUE J'A d'anrès son väsitablolanostra colui des signes dits symptomes. EL, c'est d'abord parce qu'il découle de ma nouvelle doctrine médicale que j'ai Ces épreuves, étant nombreuses et va appelée naturelle, et ensuite parce que, comme elle, il est étre rapportées dans cet écrit, à cause de basé sur l'expression des besoins ou des instincts des organes ceux qui désireront les connaitre en ent livrés à la douleur, et non sur des systèmes ou un empirisme dans la brochure qui porte le même titre q meurtrier, nés de l'abandon des connaissances primitives de seulement me borner ici à énoncer que ces instincts. Au reste, pour s'en faire une idée vraie, qu'on se doctrine, découverts en 1815 rappelle quelques uns de ces malades qui, après avoir été aban-dans ma thèse. Tels furent d'abord mes p donnés de tous les médecins, ou avoir résisté à tous les empi-puis, étendre avec force ces principes, 1 riques, ont néanmoins recouvré la santé en se livrant à la na- mon examen général l'état barbare de la ture; el bien! ce traitement n'est basé que sur la marche de multiplier les faits sous tous les rapports, cette dernière, qu'une étude particulière m'a mis à même cins, afin que si ce que j'avançais etait d'imiter, surtout dans les maladies qui suivent. mentit; provoquer près du malade l'expe de ma théorie avec celle des autres, voila que j'ai tentés pour éprouver ma médecin J'ai déjà donné une idée de la supério ment dans les deux paragraphies qui précèd tenant aux faits qui la mettent hors de tot chacun peut vérifier. Par une conséquence rigoureuse encore, on sent que ce traitement doit être aussi composé de moyens curatifs les plus simples, puisque ceux qu'emploie la nature n'ont pas d'autre caractère. Telle est notre médication fondamentale; et quant aux remèdes destinés à ramener la santé, comme dans le principe ils furent créés par les malades eux-mêmes, dont les instincts étaient pleins d'énergie, et quelquefois dus au hasard ou au médecin que guidaient ces mêmes instincts, nons ne les prenons que parmi ceux qui ont été ainsi classés dans la science, "et qui sout en outre toujours indiqués par le mal même : ou, s'ils sont nouveaux, ils sont formules d'après ce dernier, En un mot, nous croyons avoir résolu ce problème: qu'il faut, dans toutes les maladies, que le médecin vienne avec la nature, mais avec la nature, bien comprise ; s'il veut prétendre à l'art heureux de calmer nos douleurs. q On designait anciennement sous le nom ou d'AFFECTION NERVEUSE la maladie g gastrite, de gastro-entérite, dont voici lades éprouvent par intervalles des frisson une chaleur générale, incommode, surto sueurs sont faciles, les urines parfois trea Telles sont les bases de ce traitement; et en avançant qu'il constamment la peau se ternit. Le malade est d'une supériorité incontestable sur tous les autres modes des soupirs, de l'oppression par moment, de traiter les maladies qui suivent, je ne fais qu'énoncer une tômes, existent un appétit capricieux el vérité telle qu'il est impossible d'en indiquer une plus réelle en renvois, des pesanteurs au creux de l'estom médecine; ce dont on peut se convaincre d'abord par les prin- des nausées et des vomissements. Chez ces n cipes qui lui servent de base, puisque c'est la nature seule qui prend souvent et subitement un volume m'indique le mal: qu'elle seule en formule la médication, et constipation est constante, et ils deviennent qu'ensuite elle connalt mieux qu'un autre esprit ses moyens ceptibles, faciles à s'emporter. Tout bruit fo de conservation. Si ce qui précède démontre cette supériorité, sation prolongée les fatigue; ils accusent p elle est au moins mise hors de doute par l'incontestabilite dissements, et ils recherchent la solitude. Qu des faits cités dans mes ouvrages, et les observations que je très agités, et les idées les plus noires comine possède, dont je vais extraire les suivantes, prises parmi les tourmentent. Ils se plaignent de malai celles que j'ai recueillies à Lille et à Bordeaux d'abord, où j'ai douleurs de tête : et quand ces douleurs cess séjourné pendant des années, exclusivement occupé à appli-sent d'autres. Souvent il n'est pas un seul po quer mes principes à ces maladies; et ensuite parmi les plus qui ne soit souffrant, et constamment ils s importantes que j'ai été à même de faire à Paris, dans l'espace irritables. du peu de temps depuis lequel j'y suis fixé. Si j'ai pris le parti Cette maladie présente souvent des symp de citer des malades de la province, c'est parce qu'ils changent nants, tels que les douleurs au creux de l'est plus rarement de domicile, et que l'on peut aussi les trouver sements, la constipation, le dévoiement, les p bien plus longtemps. Traitée par les méthodes connues, ou livrée Telle est l'idée que j'ai cru devoir donner de ce traitement conduit à coup sûr à me foule de maladies dont j'ai développé les principes dans mon examen et multi-les, telles que la folie, le suicide, le catarrhe plié les preuves dans mon recueil d'observations.Il ne consiste phthisie, etc., elle fait plus que décimer l'espè pas, comme on voit, dans des combinaisons pharmaceutiques Cette maladie peut attaquer tous les âges; m mystérieuses ou dans l'application de formules surannées et dans les premières années et pendant l'a loles tant de fois plus funestes que le mal même; mais bien, ainsi servation que j'ai faite, c'est qu'elle ataque er que je ne cesserai de le redire, dans l'art d'interroger la dou-personnes dont l'intelligence est toujours supe leur, de préciser ses cris si divers et de prescrire rigoureuse-ligence ordinaire; et, sous ce rapport, elle peut ment ce qu'ils demandent. Voilà notre secret, tout notre se- maladie des gens comme il faul. crel, et rien de plus; et si la supériorité de ce traitement est Cette maladie a toujours été répétée absolur incontestable, ou peut assurer aussi, qu'avec lui les succès se mais cette opinion est absolument dementie ne présentent comme d'eux-mêmes. Nous ne doutons pas néan- que je suis, puisqu'il procure une amélior moins que des individus toujours routiniers voudront que en peu de jours, très souvent en vingt-qual l'on répute toujours incurables la plupart des maladies que guérison en peu de temps, ce que prouvent me nous citons, mais faut-il les croire, parce que jusqu'à ce jour lesquels je citerai d'abord quelques uns de ces maladies ont été soumises à la pratique de systèmes ab- Lille et à Bordeaux dans les cas les plus graves, surdes? Non, sans doute, et, convaincu de la solidité de nos recueillis aussi dans les mêmes cas depuis mon principes, armé des faits les plus beaux, et possesseur de la Parmi les premiers, je citerai ceux que ine do facilité de les obtenir, nous pouvons sans crainte dire à ces in-grou, grande place Comines, 18, à Lille; M. h divilus cant, rue Morel, à Tournai, près Lille; mada qu'ils se trompent. Quant à la description des maladies, si je la donne, c'est rue des Augustins, n. 13, à Lille; M. Huguet, et d'abord pour que l'individu qui en serait atteint puisse les re-la Basse-Deule, n. 39, à Lille; Mme veuve Tria connaître, et qu'à quelque distance qu'il soit, il puisse me faire mière, à Lers (France), près Lille; M. Deruel connaitre son mal et recevoir la véritable médication, attendu des Fossés, n. 44, en face l'abreuvoir, à Lille; M que, d'après les principes de mes découvertes, le mal, dont on cultivateur, à Lanoy, près Lille; M. Dupont, me transmet le tableau, indique avec rigueur le remède, lors Pont-à-Marq, près Lille; MIle Delcrois, rue d mène que le tableau serait imparfait, avantages absolument Douat, près Lille; Pépouse de M. Dorémieux, inconnus jusque ici. Si j'entre ensuite dans des critiques, c'est rue de Paris, n. 190, à Lille; M. Vandame, br pour dévoiler les dangers de la médication actuelle. Gros-Gérard, à Lille; Mme Vandame, épouse lade; Mme Pollet, épouse d'un fabricant de ce On me reprochera peut être de ne pas avoir fait approuver ces découvertes, mais l'expérience a fait justice de ces appro- Fosse-aux-Chènes, à Roubaix, près de Lille; gay bations ridicules que délivrent les academies ou que donnent jardin, épicier, rue Poivrée, à Roubaix, pres I des niédecins : car le lendemain du jour qui les a vues naître chal, cure de la conmune de Pérenchies, pres Lil les voit oublier. Parle temps qui court, cette voie n'est pas une ancien brasseur, faubourg de Wazemmes, à Lill garantie; et dès lors j'ai eru devoir y renoncer pour n'invoquer négociant en toiles, rue de l'Hôpital-Militaire, que des faits, attendu qu'eux seuls doivent faire admettre.ou M. Sauvage, place des Régneaux, n. 13, à Lille, repousser ce qu'on avance. D'ailleurs, je ne devais pas tenir fabricant, à Leuze, près Tournai (Belgique); M. d'autre conduite, puisque, malgré l'ancienneté de ces découleur des douanes, à Pernels (Belgique), près Tot vertes, je ne me suis déterminé à leur donner la plus grande neuville, employé des impositions indirectes, publicité qu'après les avoir en quelque sorte triturées. Neuf, n. 35, à Liile; Mine Jausserand, puc St-Jac |