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XXVIII.

CHAP. his own wilful nature. Yet it was presently seen that those who were near him fell under his dominion, and did as he bade them, and that the circle of deference to his will was always increasing around him; and soon it appeared that, though he moved gently, he began to have mastery over a foe who was consuming his strength in mere anger. When he had conquered, he stood, as it were, with folded arms, and seemed willing to desist from strife. But also in the West there had been seen a knot of men possessed, for the time, of the mighty engine of the French State, and striving so to use it as to be able to keep their hold, and to shelter themselves from a cruel fate. The volitions of these men were active enough, because they were toiling for their lives. Their efforts seemed to interest and to please the lustiest man of those days, for he watched them from over the Channel with approving smile, and began to declare, in his good-humoured, boisterous way, that so long as they should be suffered to have the handling of France, so long as they would execute for him his policy, so long as they would take care not to deceive him, they ought to be encouraged, they ought to be made use of, they ought to have the shelter they wanted; and, the Frenchmen agreeing to his conditions, he was willing to level the barrier he called it, perhaps, false pride-which divided the Government of the Queen from the venturers of the 2d of December. In this thought, at the moment, he stood almost alone; but he abided his time. At length he saw the spring of 1853,

XXVIII.

bringing with it grave peril to the Ottoman State. CHA P. Then, throwing aside with a laugh some papers which belonged to the Home Office, he gave his strong shoulder to the levelling work. Under the weight of his touch the barrier fell. Thenceforth the hindrances that met him were but slight. As he from the first had willed it, so moved the two great nations of the West.

APPENDIX.

PART I.

PAPERS SHOWING THE DIFFERENCE WHICH LED TO THE RUPTURE OF PRINCE MENTSCHIKOFF'S NEGOTIATION.

Draft of Note proposed by Prince Mentschikoff to be addressed to him by the Porte.*

LA Sublime Porte, après l'examen le plus attentif et le plus sérieux des demandes qui forment l'objet de la mission extraordinaire confiée à l'Ambassadeur de Russie, Prince Mentschikoff, et après avoir soumis le résultat de cet examen à Sa Majesté le Sultan, se fait un devoir empressé de notifier par la présente à son Altesse l'Ambassadeur la décision Impériale emanée à ce sujet par un Irade suprême en date du

Musulmane et Chrétienne).

(date

Sa Majesté voulant donner à son auguste allié et ami l'Empereur de Russie un nouveau témoignage de son amitié la plus sincère, et de son désir intime de consolider les anciennes relations de bon voisinage et de parfaite entente qui existent entre les deux Etats, plaçant en même temps une entière confiance dans les intentions constamment bienveillantes de Sa Majesté Impériale pour le maintien de l'intégrité et de l'indépendance de l'Empire Ottoman, a daigné apprécier et prendre en sérieuse considération les représentations franches et cordiales dont This was the last demand made by the Prince.

VOL. I.

2 K

'Ambassadeur de Russie s'est rendu l'organe en faveur du culte orthodoxe Greco-Russe professé par son auguste allié ainsi que par la majorité de leurs sujets respectifs.

Le Soussigné a reçu en conséquence l'ordre de donner par la présente note, l'assurance la plus solennelle au Gouvernement de Russie, que représente auprès de Sa Majesté le Sultan, son Altesse le Prince Mentschikoff, sur la sollicitude invariable et les sentiments généreux et tolérans qui animent Sa Majesté le Sultan pour la sécurité et la prospérité dans ses états du clergé, des églises, et des établissements religieux du culte Chrétien d'Orient.

Afin de rendre ces assurances plus explicites, préciser d'une manière formelle les objets principaux de cette haute sollicitude, corroborer par des éclaircissements supplémentaires que nécessite la marche du temps, le sens des Articles qui dans les Traités antérieurs conclus entre les deux Puissances ont trait aux questions religieuses, et prévenir enfin à jamais toute nuance de malentendu et de désaccord à se sujet entre les deux Gouvernements, le Soussigné est autorisé par Sa Majesté le Sultan à faire les déclarations suivantes :

1. Le culte orthodoxe d'Orient, son clergé, ses églises, et ses possessions, ainsi que ses établissements religieux, jouiront dans l'avenir sans aucune atteinte, sous l'égide de Sa Majesté le Sultan, des privilèges et immunités qui leur sont assurés ab antiquo, ou qui leur ont été accordés à différentes reprises par la faveur Impérial, et dans un principe de haute équité participeront aux avantages accordés aux autres rites Chrétiens, ainsi qu'aux Légations Etrangères accréditées près la Sublime Porte par Convention ou disposition particulière.

2. Sa Majesté le Sultan ayant jugé nécessaire et équitable de corroborer et d'expliquer son firman souverain revêtu du hattihoumayoum le 15 de la lune de Rebiul-Akhir 1268 (10 Février, 1852), par son firman souverain du et d'ordonner la répa

en sus par un autre firman en date du ration de la coupole du Temple du Saint Sépulcre, ces deux firmans seront textuellement exécutés et fidèlement observés, pour maintenir à jamais le status quo actuel des sanctuaires

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