Essai sur la science et l'art de l'ingénieur aux premiers siècles de l'Empire romainErnest Leroux, 1908 - 122 páginas |
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Essai sur la science et l'art de l'ingénieur aux premiers siècles de l ... C. Germain de Montauzan Visualização integral - 1909 |
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Palavras e frases frequentes
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Passagens conhecidas
Página 15 - Graiorum ludere gestit sordidus et lusco qui possit dicere 'lusce,' sese aliquem credens Italo quod honore supinus fregerit heminas Arreti aedilis iniquas, 130 nee qui abaco numeros et secto in pulvere metas scit risisse vafer, multum gaudere paratus si cynico barbam petulans nonaria vellat. his mane edictum, post prandia Callirhoen do.
Página v - DIRECTEUR GÉNÉRAL DE LA COMPAGNIE DES FORGES ET ACIÉRIES DE LA MARINE ET D'HOMÉCOURT.
Página 98 - Ctesibica machina, quae in altitudinem aquam educit, monstrare. ea fit ex acre, cuius in radicibus modioli fiunt gemelli paulum distantes, habentes fistulas furcillae figura similiter cohaerentes, in medium • catinum concurrentes. in quo catino fiunt asses in superioribus naribus fistularum coagmentatione subtili conlocati, qui praeobturantes foramina narium non patiuntur <redire>, quod spiritu in catinum est expressum.
Página 78 - Le poids qui est mû, dit Aristote (i), est au poids qui meut en raison inverse des longueurs des bras de levier ; toujours, en effet, un poids mouvra d'autant plus aisément qu'il sera plus loin du point d'appui. La cause en est celle que nous avons déjà mentionnée : la ligne qui s'écarte davantage du centre décrit un plus grand cercle.
Página 118 - Sev. 44. Rhetoribus, grammaticis, medicis, haruspicibus, mathematicis, mechanicis, architectis salaria instituit et auditoria decrevit , et discipulos cum annonis pauperum Jilios, modo ingenuos, dari jussit. Etiam in provinciis oratoribus forensibus multum detulit, plerisque etiam annonas dedit, quos constitisset gratis agere.
Página 17 - Plaçant le premier nombre, c'est-à-dire devx (car l'unité, comme il est dit dans les arithmétiques, n'est pas un nombre, mais l'origine et le fondement des nombres), plaçant donc deux sous la ligne marquée dix, ils convinrent qu'il signifierait vingt; que trois signifierait trente, quatre, quarante, et ils donnèrent aux autres nombres suivants les significations résultant de leur propre dénomination. « En plaçant les mêmes apices sous la ligne marquée du nombre cent, ils établirent...
Página 17 - ... toujours que des unités... Plaçant deux sous la ligne marquée dix, ils convinrent qu'il signifierait vingt; que trois signifierait trente ; quatre, quarante ; et ils donnèrent aux autres nombres suivants les significations résultant de leur propre dénomination. « En plaçant les mêmes apices sous la ligne marquée du nombre cent, ils établirent que deux signifierait deux cents; trois, trois cents; quatre, quatre cents; et que les autres répondraient aux autres dénominations.
Página 41 - Timée), ou encore par des fils ou fibres, elle imite les mouvements et les actions des êtres animés. » La Mécanique comprend encore la connaissance de l'équilibre en général, et de ce qu'on appelle les centres de gravité; la sphéropée qui imite les révolutions célestes...
Página 16 - Des pythagoriciens, pour éviter de se tromper dans leurs multiplications, divisions et » mesures (car ils étaient en toutes choses d'un génie inventeur et subtil), avaient imaginé » pour leur usage un tableau, qu'ils appelèrent, en l'honneur de leur maître, table de • Pythagore ; parce que, ce qu'ils avaient tracé, ils en tenaient la première idée de ce » philosophe. Ce tableau fut appelé, par les Modernes, abacus.
Página 8 - ... partir de l'unité, la génération des nombres semblables et dissemblables ( ' ), et les augmentations suivant la troisième dimension. » La Géodésie et la Logistique sont analogues aux branches précédentes; seulement, au lieu de traiter des nombres ou des figures intelligibles, elles s'occupent des sensibles; car l'œuvre de la Géodésie ne consiste pas à mesurer le cône ou le cylindre, mais bien les monceaux comme cônes ou les puits comme cylindres; les droites qu'elle emploie ne...