Histoire de l'astronomie ancienne, Volume 1

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Ve Courcier, 1817 - 556 páginas
L'astronome très réputé, J.-B.-J. Delambre (1749-1822), livre un traité historique sur les sciences mathématiques et l'astronomie, décrites et développées par les auteurs grecs.

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Índice

I
xiii
II
1
III
19
IV
49
V
61
VI
75
VII
81
VIII
86
XIII
218
XIV
234
XV
251
XVI
264
XVII
295
XVIII
326
XIX
347
XX
400

IX
98
X
100
XI
106
XII
190
XXI
442
XXII
518
XXIII
538
XXIV
553

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Palavras e frases frequentes

Passagens conhecidas

Página 186 - Quand on réunit tout ce qu'il a in« venté ou perfectionné, et qu'on songe au nombre „ de ses ouvrages , à la quantité de calculs qu'ils « supposent, on trouve dans Hipparque un des « hommes les plus étonnans de l'antiquité, et le « plus grand de tous dans les sciences qui ne sont « pas purement spéculatives et qui demandent « qu'aux connaissances géométriques on réunisse ,< des connaissances de faits particuliers et de « phénomènes dont l'observation exige beaucoup « d'assiduité...
Página xx - ... bitraires, non plus que la division du zodiaque en « vingt-sept ou vingt-huit maisons indiquées par le « cours de la lune, ou en douze signes qui répondent « aux douze mois de l'année. Tout cela est si facile, « qu'on a dû le trouver partout où l'on a voulu , et ce « n'est guère la peine de rechercher quel est le peu« pie qui s'en est avisé le premier : ce doit être le plus
Página 328 - Semper, et obtenta densantur nocte tenebrae ; Aut redit a nobis Aurora diemque reducit ; Nosque ubi primus equis Oriens afflavit anhelis , Illic sera rubens accendit lumina Vesper.
Página 361 - Au moment où l'on s'aperçoit que le soleil » ou la lune commence à s'obscurcir, tous se jettent à » genoux et frappent la terre de leur front. Aussitôt » on entend s'élever de toute la ville un bruit épou» vantable de tambours et de timbales, restes de l'an...
Página 330 - Sin ortu quarto (namque is certissimus auctor) Pura neque obtunsis per caelum cornibus ibit, Totus et ille dies et qui nascentur ab illo Exactum ad mensem pluvia ventisque carebunt, 435 Votaque servati solvent in litore nautae Glauco et Panopeae et Inoo Melicertae.
Página 312 - I, p. 312), de. vraiment remarquable dans ce passage que ce qui concerne Mercure et Vénus, dont les orbites ont le soleil pour centre commun, et se trouvent dans la position que nous leur assignons aujourd'hui. On dit que c'est ce peu de lignes qui a été pris par Copernic pour le sujet de ses méditations, et qui l'a conduit à son système du monde : en ce cas, Martianus aurait rendu à l'astronomie plus de services que des astronomes bien plus habiles, et nous devons lui pardonner son verLiage,...
Página 88 - Ptolémée, dit ce savant astronome, adopte l'obliquité d'Eratosthène, il est naturel de supposer qu'il a pris aussi la latitude qui se déduisait de ses observations, et qui sans doute avait servi à placer l'armiUe équatoriale à la hauteur qu'on croyait exacte. » Kratosthène et Hipparquc devaient donc mettre également entre ces deux points 30° 58' — 23° Si' 20", c'estrà-dire 7» 6
Página 87 - Histoire de l'astrou. ancienne, vol. I, pag. 87. « En effet , le gnomon ne donne guère que les ombres du « bord supérieur du soleil ; la hauteur de l'équateur qui s'en „ déduit doit être trop forte du demi-diamètre du soleil , ou « de quinze minutes environ ; la hauteur du pôle trop petite « d'autant. Or, la hauteur du pôle, à Alexandrie, est en effet « trop faible d'environ quinze minutes dans Ptolémée, et cette «'erreur serait inexplicable avec les armilles ou le quart de «...
Página 123 - Delambre énonce en ces termes : «Cette manière était certainement la plus naturelle, tant « qu'on n'avait aucun calcul à faire. Hipparque, au contraire, qui avait « imaginé ou perfectionné la trigonométrie, avait senti le besoin de placer...
Página 274 - II importe d'examiner si la Terre est immobile au centre du monde, ou si, le ciel étant immobile, la Terre tourne sur elle-même. Des auteurs ont dit que la Terre nous entraîne sans que nous nous en apercevions, et que c'est notre mouvement qui produit les levers et les couchers apparents des astres. C'est un objet bien digne de nos contemplations que de savoir si nous avons une demeure paresseuse, ou si au contraire elle est douée d'une excessive...

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