Les Géorgiquesde l'imprimerie de P. Didot l'aîné, chez Bleuet pere, 1806 - 264 páginas |
No interior do livro
Resultados 1-5 de 42
Página 99
... enfants s'élever sous son ombre ; Des forêts d'arbrisseaux naissent du cerisier ; Et du tronc maternel sort le jeune laurier . Telles furent d'abord les lois de la nature : Bientôt l'expérience étendit la culture ; Et l'art industrieux ...
... enfants s'élever sous son ombre ; Des forêts d'arbrisseaux naissent du cerisier ; Et du tronc maternel sort le jeune laurier . Telles furent d'abord les lois de la nature : Bientôt l'expérience étendit la culture ; Et l'art industrieux ...
Página 99
... enfants ; ainsi ces vieux ormeaux Sur leur jeune famille étendent leurs rameaux ; Et même le laurier , que le Pinde révere , Leve son front timide à l'abri de son pere . Tels , sans les soins de l'art , d'elle - même autrefois La nature ...
... enfants ; ainsi ces vieux ormeaux Sur leur jeune famille étendent leurs rameaux ; Et même le laurier , que le Pinde révere , Leve son front timide à l'abri de son pere . Tels , sans les soins de l'art , d'elle - même autrefois La nature ...
Página 102
... enfants s'élever sous son ombre ; Des forêts d'arbrisseaux naissent du cerisier ; Et du tronc maternel sort le jeune laurier . Telles furent d'abord les lois de la nature : Bientôt l'expérience étendit la culture ; Et l'art industrieux ...
... enfants s'élever sous son ombre ; Des forêts d'arbrisseaux naissent du cerisier ; Et du tronc maternel sort le jeune laurier . Telles furent d'abord les lois de la nature : Bientôt l'expérience étendit la culture ; Et l'art industrieux ...
Página 102
... enfants s'élever sous son ombre ; Des forêts d'arbrisseaux naissent du cerisier ; Et du tronc maternel sort le jeune laurier . ) Telles furent d'abord les lois de la nature : Bientôt l'expérience étendit la culture ; Et l'art ...
... enfants s'élever sous son ombre ; Des forêts d'arbrisseaux naissent du cerisier ; Et du tronc maternel sort le jeune laurier . ) Telles furent d'abord les lois de la nature : Bientôt l'expérience étendit la culture ; Et l'art ...
Página 103
... enfants ; ainsi ces vieux ormeaux Sur leur jeune famille étendent leurs rameaux ; Et même le laurier , que le Pinde révere , Leve son front timide à l'abri de son pere . Tels , sans les soins de l'art , d'elle - même autrefois La nature ...
... enfants ; ainsi ces vieux ormeaux Sur leur jeune famille étendent leurs rameaux ; Et même le laurier , que le Pinde révere , Leve son front timide à l'abri de son pere . Tels , sans les soins de l'art , d'elle - même autrefois La nature ...
Outras edições - Ver tudo
Palavras e frases frequentes
acanthi æquore æstas æthera aliæ alios apibus arbos arbres arbrisseaux armenta arva atque avoit baccho bois brillant Cérès champs cieux circum cœli cœlo Columelle corpora coteaux coursier cùm curæ déja dieux doux eaux essaims étoit fécondes fertilis feuillage fleurs flots flumina fœtus foible forêts frigora frondes genus Géorgiques guérets hæc haud herbas Hésiode hiems Hinc humides illa illæ ille illum ingens inter ipsa ipsæ ipse JACQUES DELILLE l'air l'hiver l'onde labor læta langue latè littora malè mella miel moissons namque nature nec corpora nectar neque Nisus nocte Nunc omnes Omnia ondes orbem pecori peuple pinguis plaines poëme poésie poëte primùm Primus printemps quà quæ Quàm Quid quoque rameaux Romains roule ruisseaux sæpè secat seges sese sillons soleil stabulis sur-tout sylvis tantùm taureaux Taygete tecta tellus terræ terre Téthys thym tibi troupeaux vallons vents verds verò vigne Virgile
Passagens conhecidas
Página 39 - Un jour le laboureur, dans ces mêmes sillons Où dorment les débris de tant de bataillons, Heurtant avec le soc leur antique dépouille, Trouvera, plein d'effroi, des dards rongés de rouille, Verra de vieux tombeaux sous ses pas s'écrouler, Et des soldats romains les ossements rouler.
Página 32 - Sin ortu quarto (namque is certissimus auctor) Pura neque obtunsis per caelum cornibus ibit, Totus et ille dies et qui nascentur ab illo Exactum ad mensem pluvia ventisque carebunt, 435 Votaque servati solvent in litore nautae Glauco et Panopeae et Inoo Melicertae.
Página 102 - Esse apibus partem divinae mentis, et haustus 220 .^Etherios dixere ; Deum namque ire per omnes Terrasque, tractusque maris, caelumque profundum. Hinc pecudes, armenta, viros, genus omne ferarum, Quemque sibi tenues nascentem arcessere vitas.
Página 117 - C'en est fait ; un coup d'œil a détruit son bonheur : Le barbare Pluton révoque sa faveur, Et des enfers , charmés de ressaisir leur proie , Trois fois le gouffre avare en retentit de joie. Eurydice s'écrie...
Página 113 - Non te nullius exercent numinis irae ; ' Magna luis commissa : tibi has miserabilis Orpheus 'Haudquaquam ob meritum poenas, ni fata resistant, 455 'Suscitat, et rapta graviter pro coniuge saevit. 'Ilia quidem, dum te fugeret per flumina praeceps, ' Immanem ante pedes hydrum moritura puella 'Servantem ripas alta non vidit in herba.
Página 29 - S'élève, s'épaissit, se déchire, et soudain La pluie à flots pressés s'échappe de son sein ; Le ciel descend en eaux , et couche sur les plaines Ces riantes moissons , vains fruits de tant de...
Página 27 - Nosque ubi primus equis Oriens afflavit anhelis, Illic sera rubens accendit lumina Vesper...
Página 29 - Soulèvent en grondant et balancent leurs ondes ; Tantôt court sur la plage un long mugissement, Et les noires forêts murmurent sourdement. Que je plains les nochers, lorsqu'aux prochains rivages, Les plongeons effrayés, avec des cris sauvages, Volent du sein de l'onde ; ou quand l'oiseau des mers Parcourt en se jouant les rivages déserts ; Ou lorsque le héron, les ailes étendues, De ses marais s'élance et se perd dans les nues ! Quelquefois de l'orage avant-coureur brûlant, Des cieux se...
Página 26 - Idcirco certis dimensum partibus orbem per duodena regit mundi sol aureus astra. quinque tenent caelum zonae: quarum una corusco semper sole rubens et torrida semper ab igni; quam circum extremae dextra...
Página 119 - Telle sur un rameau durant la nuit obscure , Philomèle , plaintive , attendrit la nature , Accuse en gémissant l'oiseleur inhumain Qui , glissant dans son nid une furtive main , Ravit ces tendres fruits que l'amour fit éclore, Et qu'un léger duvet ne couvrait pas encore.