...feu , lisant Voltaire, regrettant Gauvain * , faisant des fables , et fuyant des sociétés qui sont devenues des arènes affreuses , où tout le monde...Adieu , mon cher confrère ; lisez Gonzalve dans vos moments 1 Pocme de chevalerie auquel travaillait M. Roissy d'Anglas avant la révolution , et qu'il...

...Anglas, le 17 février 1792, lisant Voltaire, faisant des fables , et fuyant des sociétés qui sont devenues des arènes affreuses , où tout le monde...des qualités , sont méprisées par tous les partis (2). Le décret du 16 avril 1794 , d'après lequel les ci-devant nobles ne pouvaient habiter Paris...

...feu, lisant Voltaire , regrettant Gauvain (1) , faisant des fables, et fuyant des sociétés qui sont devenues des arènes affreuses, où tout le monde...des qualités, sont méprisées par tous les partis » (2). Il était écrit que la retraite et l'étude ne pourraient le soustraire a la persécution....

...coin de mon feu, écrivait-il à Boissy d'Anglas, lisant Voltaire et fuyant des sociétés qui sont devenues des arènes affreuses, où tout le monde hait la raison, où les vertus ne sont plus même louées, où l'humanité, la première des vertus, la modération, la première des qualités,...

...Sainte-Beuve, sur madame Deshonles-Valinore. lisant Voltaire et fuyant des sociétés qui sont'devenues des arènes affreuses où tout le monde hait la raison,...souvent de vos nouvelles, je l'aimerais encore plus.» Florian s'était montré très empressé, vers ce temps-là, auprès de la troisième fille de M. Le...

...fables , et fuyant des sociétés qui sont devenues des arènes affreuses , où tout le monde bail la raison , où les vertus ne sont même plus louées...où l'humanité , la première des vertus , et la modéralion , la première des qualités , sont méprisées par tous les partis. Je me trouve fort...

...même ami : « Je passe ma vie au coin de mon feu, faisant des fables, fuyant des sociétés qui sont devenues des arènes affreuses où tout le monde hait...des qualités, sont méprisées par tous les partis. » Toutefois son écœurement ne modifiait pas ses opinions politiques, et il terminait ainsi sa lettre...

...mon feu, lisant Voltaire, regrettant Gauvain, faisant des fables, et fuyant des sociétés qui sont devenues des arènes affreuses, où tout le monde...Adieu, mon cher confrère, lisez Gonzalve dans vos moments perdus ; vous en serez peutêtre content. Vous le serez sûrement de l'histoire des Maures,...

...« Je passe doucement ma vie au coin de mon feu, lisant Voltaire et fuyant des sociétés qui sont devenues des arènes affreuses où tout le monde hait...souvent de vos nouvelles, je l'aimerais encore plus. » Florian s'était montré très empressé, vers ce temps-là, auprès de la troisième fille de M....