Nouvelle biographie générale depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, avec les renseignements bibliographiques et l'indication des sources à consulter: Geo-Goe

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Firmin Didot frères, fils et cie, 1857

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Palavras e frases frequentes

Passagens conhecidas

Página 831 - Alceste, dit l'auteur de cette tragédie lyrique, je me proposais d'éviter tous les abus que la vanité mal entendue des chanteurs et l'excessive complaisance des compositeurs avaient introduits dans l'opéra italien, et qui du plus pompeux et du plus beau de tous les spectacles, en avaient fait le plus ennuyeux et le plus ridicule. Je...
Página 427 - Après avoir posé ma plume, je fis quelques tours dans une allée couverte d'acacias, d'où la vue domine sur les champs, le lac et les montagnes. L'air était doux , le ciel serein; le disque argenté de la lune se réfléchissait dans les eaux, et toute la nature était dans le silence. Je ne dissimulerai pas...
Página 831 - J'ai cru encore que la plus grande partie de mon travail devait se réduire à chercher une belle simplicité, et j'ai évité de faire parade de difficultés aux dépens de la clarté ; je n'ai attaché aucun prix à la découverte d'une nouveauté, à moins qu'elle ne fût naturellement...
Página 831 - J'ai imaginé que l'ouverture devait prévenir les spectateurs sur le caractère de l'action qu'on allait mettre sous leurs yeux, et leur en indiquer le sujet; que les instruments ne devaient être mis en action qu'en proportion du degré...
Página 853 - ... aujourd'hui qu'il ne doit y avoir d'autre culte national que celui de la liberté et de l'égalité, je renonce à mes fonctions de ministre du culte catholique ; mes vicaires font la même déclaration : nous déposons sur votre bureau nos litres de prêtrise.
Página 831 - ... à réduire la musique à sa véritable fonction, celle de seconder la poésie pour fortifier l'expression des sentiments et l'intérêt des situations, sans interrompre l'action et la refroidir par des ornements superflus ; je crus que la musique devait ajouter à la poésie ce...
Página 41 - ... et ce plan, toujours le même, toujours suivi de l'homme au singe, du singe aux quadrupèdes, des quadrupèdes aux cétacés, aux oiseaux, aux poissons, aux reptiles; ce plan, dis-je, bien saisi par l'esprit humain, est un exemplaire fidèle de la nature vivante, et la vue la plus simple et la plus générale sous laquelle on puisse la considérer...
Página 427 - Mémoires, où il annonce la (In de son ouvrage : Ce fut, dit-il, le jour ou plutôt la nuit du 27 juin 1787, entre onze heures et minuit, que j'écrivis les dernières lignes de ma dernière page, dans un pavillon de mon jardin. Après avoir posé ma plume , je fis quelques tours dans une allée couverte d'acacias . d'où la vue domine sur les champs , le lac et les montagnes. L'air était doux , le ciel serein ; le disque argenté de la lune se réfléchissait dans les eaux , et toute la nature...
Página 491 - M me de Créquy , ou le spirituel écrivain qui se cache sous ce nom, prétend que Gilbert sur la fin de ses jours était en pleine jouissance d'une pension de 800 livres sur la cassette du roi, d'une pension de 100 écus sur le Mercure de France, d'une autre pension de 500 livres sur la caisse épiscopale des économats, et qu'en outre il recevait de Mesdames, tantes du roi, un mandat de 600 livres, que ces bonnes princesses lui faisaient adresser régulièrement pour étrennes.

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