Répertoire du Théâtre français ...J. Didot ainé, 1822 |
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Répertoire du Théâtre français ...: composé des tragédies ..., Volume 29 Visualização integral - 1822 |
Palavras e frases frequentes
ACTE Ah ah allez amour ANDRÉ ANTONIO assez AURELLY avez avoit baise Barbier de Séville BARON BARTHOLO BETSY billet bras BRID'OISON c'étoit cabinet CAPITAINE chante cher CHERUBIN chose ciel clavecin cœur colère comte Almaviva COMTESSE connoissez DABINS déja diable Dieu docteur don Bazile DOUBLE-MAIN DRINK enfant Est-ce êtes étoit EUGÉNIE FANCHETTE fauteuil femme fille FLORESTINE genoux grace GRIPE-SOLEIL homme j'ai j'avois j'en j'étois jeune joie jolie l'ai LÉON lettre Lindor m'en MADAME MURER mademoiselle main maîtresse malheureux MARCELINE mariage MARIAGE DE FIGARO MELAC MÉLAC FILS MÉLAC PÈRE MÉLAG MÈRE COUPABLE milord Mme MURER monseigneur Monsieur Bégearss monsieur de Mélac monsieur Figaro nièce oncle papier pardon parler paroît PAULINE PÉDRILLE pleurant Qu'est-ce raison regarde riant rien ROSINE ruban s'il SAINT-ALBAN sais SCÈNE VII SCÈNE XI secret seroit seul Séville SIR CHARLES soir sort SUSANNE Suson trouble vais valet veut veux vivement voilà vois
Passagens conhecidas
Página 170 - Parce que vous êtes un grand seigneur, vous vous croyez un grand génie!... Noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela rend si fier! Qu'avez-vous fait pour tant de biens? Vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus. Du reste, homme assez ordinaire; tandis que moi, morbleu ! perdu dans la foule obscure, il m'a fallu déployer plus de science et de calculs, pour subsister seulement, qu'on n'en a mis depuis cent ans à gouverner toutes les Espagnes : et vous voulez jouter...
Página 171 - Barca, de Tripoli, de Tunis, d'Alger et de Maroc: et voilà ma comédie flambée, pour — plaire aux princes mahométans, dont pas un, je crois, ne sait lire, et qui nous meurtrissent l'omoplate, en nous disant: chiens de chrétiens ! — Ne pouvant avilir l'esprit, on se venge ^ en le maltraitant.
Página 101 - ... de ses forces ; avoir souvent pour grand secret de cacher qu'il n'y en a point; s'enfermer pour tailler des plumes, et paraître profond quand on n'est, comme on dit, que vide et creux ; jouer bien ou mal un personnage ; répandre des espions et pensionner des traîtres ; amollir des cachets, intercepter des lettres, et tâcher d'ennoblir la pauvreté des moyens par l'importance des objets : voilà toute la politique, ou je meure ! LE COMTE.
Página 269 - ... ce risible acharnement les conduit, tous les insectes, les moustiques, les cousins, les critiques, les maringouins, les envieux, les feuillistes, les libraires, les censeurs, et tout ce qui s'attache à la...
Página 171 - Est-il rien de plus bizarre que ma destinée ! fils de je ne sais pas qui ; volé par des bandits, élevé dans leurs mœurs, je m'en dégoûte et veux courir une carrière honnête ; et partout je suis repoussé...
Página 267 - Chloris, que j'envoyais des énigmes aux journaux, qu'il courait des madrigaux de ma façon; en un mot, quand il a su que j'étais imprimé tout vif, il a pris la chose au tragique, et m'a fait ôter mon emploi, sous prétexte que l'amour des lettres est incompatible avec l'esprit des affaires.
Página 172 - Quand une bonne disgrâce a cuvé son orgueil, je lui dirais... que les sottises imprimées n'ont d'importance qu'aux lieux où l'on en gêne le cours ; que, sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur ; et qu'il n'ya que les petits hommes qui redoutent les petits écrits...
Página 171 - Porte, la Perse, une partie de la Presqu'île de l'Inde, toute l'Egypte, les royaumes de Barca, de Tripoli, de Tunis, d'Alger et de Maroc: et voilà ma comédie flambée, pour plaire aux princes mahométans, dont pas un, je crois, ne sait lire, et qui nous meurtrissent l'omoplate, en nous disant : chiens de chrétiens!
Página 15 - Je ne sais plus ce que je suis ; mais depuis quelque temps je sens ma poitrine agitée ; mon cœur palpite au seul aspect d'une femme; les mots amour et volupté le font tressaillir et le troublent. Enfin le besoin de dire à quelqu'un Je vous aime, est devenu pour moi si pressant, que je le dis tout seul, en courant dans le parc, à ta maîtresse, à toi, aux arbres, aux nuages, au vent qui les emporte avec mes paroles perdues.
Página 270 - ... et sucer le peu de substance qui leur restait ; fatigué d'écrire, ennuyé de moi, dégoûté des autres, abîmé de dettes et léger d'argent ; à la fin convaincu que l'utile revenu du rasoir est préférable aux vains honneurs de la plume...