| Samuel Richardson - 1777 - 598 páginas
...courage fi ferme & fi tranquille. Hier au matin , le colonel vint me prendre chez n.oi. 1l n'étoic pas encore revenu de fon trouble. Nous nous rendîmes...défendre, en arrivant , de jeter encore une fois les* yeux lur l'aimable cotps , & d'admirer la férénité qui régnoit fur fon vifagt. Les femmes nous dirent... | |
| abbé Prévost - 1784 - 590 páginas
...maifon, qui , fuivant les ordres qu'elle leur avoit donnés le même jour, le mirent en pofleflîon de ce logement funefte qu'elle s'étoit préparé...figure fi charmante. On l'auroit crue dans un doux aflbupiffêment. Ses joues & fes lèvres n'avoient pas encore perdu tout-à-fait leur couleur vermeille.... | |
| abbé Prévost - 1784 - 594 páginas
...maifon, qui , fuivant les ordres qu'elle leur avoit donnés le même jour, le mirent en pofleflion de ce logement funefte qu'elle s'étoit préparé...nous dirent qu'elles n'avoient jamais vu la mort fous ',ine figure fi charmante. On l'auroit crue dans un, doux aflbupiflëment. Ses joues & fes lèvres... | |
| Samuel Richardson - 1846 - 602 páginas
...vint me prendre chez moi , il n'était pas encore revenu de son trouble. Nous nous rendîmes ensemble chez Smith , où nous ne pûmes nous défendre, en arrivant, de jeter encore une fois les yeux sur l'aimable corps, et d'admirer la sérénité qui régnait sur son visage. Ou l'aurait crue dans... | |
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