L'ancienne chanson populaire en France (16e et 17e siècle) avec préface et noticesGarnier frères, 1887 - 534 páginas |
Outras edições - Ver tudo
L'ancienne chanson populaire en France (16e et 17e siècle) avec préface et ... Jean-Baptiste Weckerlin Visualização integral - 1887 |
L'ancienne chanson populaire en France (16e et 17e siècle) avec préface et ... Jean-Baptiste Weckerlin Visualização integral - 1887 |
L'Ancienne Chanson Populaire en France (16e Et 17e Siècle): Avec Préface Et ... Jean-Baptiste Weckerlin Pré-visualização indisponível - 2018 |
Palavras e frases frequentes
Adieu Allons amours amye andouille avoit ayme baiser baisez-moy beau Robert belle bergère belle fille belles chansons Benoist Rigaud biau Bibliothèque de l'Arsenal Bibliothèque nationale boire bois Bois-Gille Bon bon bon boys casaquin Celuy ceste chansonnette chansons nouvelles chansons populaires chant Charles Sevestre cœur commère cueur d'amour dame danser Derira Derirette Dieu diray disoit doulce engraine Escoutez espée esté estoit estre estrennes faict fault femme feray fillette Gaudinette gentil Gros nez Hélas hola hola J'ay J'en Janneton joly jour jure ma foy l'ay dict lerire levay Lironfa Lyon m'amye m'en iray m'en vay Maistresse mamye mary matin mère mignonne Moulinet musnier nuict père plaisir pourquoy pousser la navette prins recueil rencontray Rossignolet rubaniers S'elle seray soulez Tire lira tourdion tousjours trouvay Venez veoir verray veux Robin Vive l'amour volle voyla
Passagens conhecidas
Página 52 - Vielles qui vont au bois, c'est la fille et la mère; l'une s'en va chantant, l'autre se désespère: 'qu'avez-vous à pleurer, Marguerite, ma chère?' 'J'ai un' grande ire au cœur, qui me fait pâle et triste; je suis fille sur jour et la nuit blanche biche, la chasse est après moi par haziers et par friches. Et de tous les chasseurs le pir', ma mèr', ma mie, c'est mon frère Lyon: vite, allez, qu'on lui die qu'il arrête ses chiens jusqu'à demain ressie.
Página 52 - C'est mon frère, Lyon ; vite, allez, qu'on lui die Qu'il arrête ses chiens, jusqu'à demain récie. — Arrête-les, Lyon, arrête, je t'en prie.
Página 193 - Magdelon, je t'aime tant que quasi je radotte. Je m'en allay un peu plus loing, trouvay une botte de foing, qui dansoit la gavotte. ma Magdelon etc.
Página 17 - Qui la déshabille Et la jette à l'eau. Capitaine plus sage, Se jette à la nage. La ramène à bord. Allons, partons, belle, Partons pour la guerre. Partons, il est temps.
Página xxv - La Fleur des chansons amoureuses où sont comprins tous les airs de court, recueillis aux cabinets des plus rares poètes de ce temps.
Página xxxiii - La Caribarye des artisans, ou Recueil nouveau des plus agréables chansons vieilles et nouvelles, propres pour les gens de métier et autres, contenant plusieurs airs de cour, chansons musicales, à boire, dancer, pastorales, de guerre, de batailles et victoires obtenues par les François...
Página 5 - Je voudrais que la rose fût encore au rosier, Et que le rosier même fût encore à planter, Et que le planteur même ne fût pas encor né, Et que mon ami Pierre fût encore à m'aimer.
Página 294 - Oh bien, croyez-le ou non croyez, en voilà les anneaux dorés.' Quand il a vu les trois anneaux, contre la terre il s'est jeté. Il fut trois jours et trois nuits ni sans boire ni sans dormir. Au bout de trois jours et trois nuits sur son cheval il a monté. La mère étant sur les balcons avisit son gendre venir.
Página 341 - L'un boit du bon, l'autre ne boit du pire. Mais un débat au soir entre eulx s'esmeut, Car maistre abbé toute la nuict ne veult Estre sans vin, que sans secours ne meure, Et son valet jamais dormir ne peult, Tandis qu'au pot une goutte en demeure.
Página 74 - ... sur le pont de Nantes (vogue, beau marinier, vogue), m'y allant promener (vogue, beau marinier), En mon chemin rencontre une fille éplorée. 'Ah, qu'avez-vous, la belle, qu'avez-vous à pleurer?' "Je pleure mon anneau d'or, à la mer qu'est tombé." Le galant se dépouille, à la mer s'est jeté. Au premier coup qu'il plonge, du sable a rapporté. Au second coup qu'il plonge, l'anneau d'or a touché. Au troisième coup qu'il plonge, le galant s'est noyé. La bell' qu'est en fenêtre, ell