Le théâtre et les mœursCalmann Lévy, 1889 - 387 páginas |
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Passagens conhecidas
Página 216 - C'est en vain qu'au Parnasse un téméraire auteur Pense de l'art des vers atteindre la hauteur : S'il ne sent point du ciel l'influence secrète, Si son astre en naissant ne l'a formé poète, Dans son génie étroit il est toujours captif; Pour lui Phébus est sourd , et Pégase est rétif.
Página 374 - Désir de fille est un feu qui dévore, Désir de nonne est cent fois pis encore.
Página 148 - Je vais, lui dit ce prince, à Rome où l'on m'appelle. — Quoi faire? — L'assiéger. — L'entreprise est fort belle, Et digne seulement d'Alexandre ou de vous : Mais, Rome prise enfin, seigneur, où courons-nous?
Página xxvii - A tous les cœurs bien nés que la patrie est chère ! il semblait qu'il fût encore à Leipzig et qu'il eût à ses trousses ces gueux de Saxons, traîtres et défectionnaires.
Página 252 - Rien ne lui fait tant d'honneur dans cette cour que d'être informée par vous de tout ce qui se passe et de tout ce qui se dit dans le monde. Pour son...
Página 223 - Sur des perches partant du haut des greniers , des écheveaux de coton séchaient à l'air. En face, au delà des toits, le grand ciel pur s'étendait, avec le soleil rouge se couchant. Qu'il devait faire bon là-bas! Quelle fraîcheur sous la hêtrée!
Página 177 - Ce n'est pas moi qui empêche votre mariage, c'est la raison, c'est la justice, c'est la loi sociale qui veut qu'un honnête homme n'épouse qu'une honnête femme.
Página 180 - Se marier quand on est jeune et sain, choisir, dans n'importe quelle classe, une bonne fille franche et saine, l'aimer de toute son âme et de toutes ses forces, en faire une compagne sûre et une mère féconde, travailler pour élever ses enfants et leur laisser en mourant l'exemple de sa vie : voilà la vérité. Le reste n'est qu'erreur, crime ou folie.
Página 89 - ... moral, abandonner quelque intérêt, dépouiller quelque vanité, renoncer aux biens et aux honneurs du monde, risquer sa fortune, risquer son foyer, risquer sa vie, Aussi, ce labeur accompli, est-il permis d'en être fier; et s'il est vrai que Murat aurait pu montrer avec quelque orgueil son fouet de postillon à côté de son sceptre de roi, et dire :
Página 109 - Mes nobles compagnons, je garde votre culte; Bannis, la République est là qui nous unit. J'attacherai la gloire à tout ce qu'on insulte; Je jetterai l'opprobre à tout ce qu'on bénit! Je serai, sous le sac de cendre qui me couvre, La voix qui dit: malheur!