Oeuvres de Delille, Volume 1Furne, 1832 |
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... beaux vers qui venaient d'éclore , et auxquels la magie de sa déclamation donnait le charme d'une musique nou- velle pour les oreilles françaises . Delille a traversé nos quarante ans de révolution sans interrompre un moment le culte ...
... beaux vers qui venaient d'éclore , et auxquels la magie de sa déclamation donnait le charme d'une musique nou- velle pour les oreilles françaises . Delille a traversé nos quarante ans de révolution sans interrompre un moment le culte ...
Página vi
... beaux vers sur la charrue , sur les mystères de la greffe , sur l'éducation des animaux domestiques . A la vérité , l'amour de la campagne était alors une mode en vogue , et une passion naissante ; les sa- lons de Paris , endoctrinés ...
... beaux vers sur la charrue , sur les mystères de la greffe , sur l'éducation des animaux domestiques . A la vérité , l'amour de la campagne était alors une mode en vogue , et une passion naissante ; les sa- lons de Paris , endoctrinés ...
Página xii
... beaux esprits , les plus sots juges et les plus perfides adulateurs du monde , quand ils sont réunis , avait contracté quelques uns des défauts du facile , aimable et spi- rituel Ovide , l'enfant gâté des salons de Rome . Les Jardins de ...
... beaux esprits , les plus sots juges et les plus perfides adulateurs du monde , quand ils sont réunis , avait contracté quelques uns des défauts du facile , aimable et spi- rituel Ovide , l'enfant gâté des salons de Rome . Les Jardins de ...
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... beaux vers en les récitant . Delille , sans l'avoir cherché , se vit aussi dans une espèce de faveur à la cour , qui recevait alors l'exemple de Paris , au lieu de lui donner le ton comme au temps de Louis XIV . Le comte d'Artois l ...
... beaux vers en les récitant . Delille , sans l'avoir cherché , se vit aussi dans une espèce de faveur à la cour , qui recevait alors l'exemple de Paris , au lieu de lui donner le ton comme au temps de Louis XIV . Le comte d'Artois l ...
Página xxi
... beaux vers échappés comme un cri du cœur à la verve du poète : Que je hais les tyrans ! Combien , dès mon enfance , Mes imprécations out poursuivi leur char ! Ma faiblesse superbe insulte à leur puissance : J'aurais chanté Caton à l ...
... beaux vers échappés comme un cri du cœur à la verve du poète : Que je hais les tyrans ! Combien , dès mon enfance , Mes imprécations out poursuivi leur char ! Ma faiblesse superbe insulte à leur puissance : J'aurais chanté Caton à l ...
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Oeuvres de Delille: précédes d'une notice sur sa vie et ses ouvrages par F.P ... Jacques Delille Visualização integral - 1833 |
Palavras e frases frequentes
abeilles acanthi æquor æthera alta amour anciens arbres arbrisseaux arva atque Bacchus beauté beaux bois brebis brillante Buffon Cérès champs chante char cieux circum cire cœur Columelle Condamine coursier Cyrène Delille dieux différens doux eaux Émathie Énéide enfans enfin espèce essaims etiam Eurydice fécondes fleurs fleuve flots flumina foule froid fruits Géorgiques gloire guérets hæc herbas heureux Hinc hommes ille ingenti inter ipsa ipse j'ai JACQUES DELILLE jamais jeune jour l'Académie l'Énéide l'hiver l'onde labor laboureur langue litore long-temps miel moissons morceau multa nature neque nourrit Nunc omnes Omnia orbem ouvrages Ovide parle Pélops peuple plaines plante Pline poème poésie poète premier printemps propolis quæ quam Quid quum Romains roule ruche sæpe semble seulement sillons silvis soins soleil sorte souvent surtout taureau Taygète tecta terræ terre testudine texte Thrace tibi torrens traducteur traduction travaux troupeaux vallons Varron vigne Virgile yeux
Passagens conhecidas
Página 268 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats : aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l'affronte, il se fait au bruit des armes, il l'aime, il le cherche et s'anime...
Página 112 - Non alios prima crescentis origine mundi Illuxisse dies, aliumve habuisse tenorem Crediderim : ver illud erat ; ver magnus agebat Orbis, et hibernis parcebant flatibus Euri : Cum primae lucem pecudes hausere, virumque 340 Terrea progenies duris caput extulit arvis, Immissaeque ferae silvis, et sidera caelo.
Página 268 - ... il fléchit sous la main de celui qui le guide, mais il semble consulter ses désirs, et obéissant toujours aux impressions qu'il en reçoit...
Página 128 - Tentanda via est, qua me quoque possim Tollere humo, victorque virum volitare per ora.
Página 26 - ... les termes qui peignent leurs opérations. De là la nécessité d'employer des circonlocutions timides, d'avoir recours à la lenteur des périphrases, enfin d'être long de peur d'être bas ; de sorte que le destin de notre langue ressemble assez à celui de ces gentilshommes ruinés qui se condamnent à l'indigence de peur de déroger (Delille, (huvres.
Página 122 - Defectus sous varios, lunaeque labores; Unde tremor terris; qua vi maria alta tumescant Objicibus ruptis, rursusque in se ipsa residant; Quid tantum Oceano properent se tingere soles Hiberni, vel quae tardis mora noctibus obstet.
Página 122 - At secura quies et nescia fallere vita, Dives opum variarum ; at latis otia fundis, Speluncae, vivique lacus ; at frigida Tempe, Mugitusque boum, mollesque sub arbore somni Non absunt. Illic saltus ac lustra ferarum, Et patiens operum parvoque adsueta juventus, Sacra tlciuu, sanctique patres ; extrema per illos Justitia excedens terris vestigia fecit.
Página 96 - Media fert tristis sucos tardumque saporem felicis mali, quo non praesentius ullum, pocula si quando saevae infecere novercae, miscueruntque herbas et non innoxia verba, auxilium venit ac membris agit atra venena.
Página 70 - Cum sonitu, fervetque fretis spirantibus aequor. Ipse Pater, media nimborum in nocte, corusca Fulmina molitur dextra : quo maxima motu Terra tremit : fugere ferae, et mortalia corda Per gentes humilis stravit pavor...
Página 184 - Grandaevis oppida curae et munire favos et daedala fingere tecta, at fessae multa referunt se nocte minores 180 crura thymo plenae; pascuntur et arbuta passim et glaucas salices casiamque crocumque rubentem et pinguem tiliam et ferrugineos hyacinthos. Omnibus una quies operum, labor omnibus unus.