Histoire de la littérature moderne: La réforme, de Luther a Shakespeare, Volume 2 |
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Palavras e frases frequentes
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Passagens conhecidas
Página 307 - No me mueve, mi Dios, para quererte, el cielo que me tienes prometido, ni me mueve el infierno tan temido para dejar por eso de ofenderte.
Página 186 - Le parler que j'ayme, c'est un parler simple et naïf, tel sur le papier qu'à la bouche ; un parler succulent et nerveux, court et serré, non tant délicat et peigné comme véhément et brusque : Haec demum sapiet dictio, quœ feriet, plustost difficile qu'ennuieux, esloingné d'affectation, desreglé, descousu et hardy ; chaque lopin y face son corps ; non pedantesque, non fratesque, non pleideresque, mais plustost soldatesque...
Página 151 - Vivre entre ses parents le reste de son âge. Quand reverrai-je, hélas! de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison Qui m'est une province et beaucoup davantage? Plus me...
Página 417 - I HAD rather believe all the fables in the Legend, and the Talmud, and the Alcoran, than that this universal frame is without a mind.
Página 424 - Stand still, you ever-moving spheres of Heaven, That time may cease, and midnight never come; Fair Nature's eye, rise, rise again and make Perpetual day; or let this hour be but A year, a month, a week, a natural day, That Faustus may repent and save his soul! O lente, lente currite, noctis equi! The stars move still, time runs, the clock will strike, The Devil will come, and Faustus must be damned.
Página 170 - Plutarque, il ne lui a au moins rien prêté qui le démente ou qui le dédise); mais surtout je lui sais bon gré d'avoir su trier et choisir un livre si digne et si à propos, pour en faire présent à son pays.
Página 195 - Qu'on ne dise pas que je n'ai rien dit de nouveau : la disposition des matières est nouvelle...
Página 417 - It is true that a little philosophy inclineth man's mind to atheism, but depth in philosophy bringeth men's minds about to religion. For, while the mind of man looketh upon second causes scattered, it may sometimes rest in them and go no further, but, when it beholdeth the chain of them confederate and linked together, it must needs fly to Providence and Deity.
Página 424 - Ah, Faustus, Now hast thou but one bare hour to live, And then thou must be damn'd perpetually! Stand still, you ever-moving spheres of Heaven, That time may cease, and midnight never come; Fair Nature's eye, rise, rise again and make Perpetual day; or let this hour be but A year, a month, a week, a natural day, That Faustus may repent and save his soul! O lente, lente, currite noctis equi!
Página 182 - Je n'ay pas plus faict mon livre que mon livre m'a faict, livre consubstantiel à son autheur, d'une occupation propre, membre de ma vie ; non d'une occupation et fin tierce et estrangere comme tous autres livres.