LÉnéide, Volume 2Giguet et Michaud, 1804 |
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... encore , ô jeune téméraire ! Si l'artiste n'étoit trop distrait par le père , Toi - même il t'eût placé dans ce vaste tableau . Deux fois repris en vain , son impuissant ciseau Veut tracer de son fils l'aventure cruelle , Et deux L'ÉNÉIDE .
... encore , ô jeune téméraire ! Si l'artiste n'étoit trop distrait par le père , Toi - même il t'eût placé dans ce vaste tableau . Deux fois repris en vain , son impuissant ciseau Veut tracer de son fils l'aventure cruelle , Et deux L'ÉNÉIDE .
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... tableau douloureux Du concours empressé de tant de malheureux , Le héros s'attendrit : « Prêtresse vénérable ! » Pourquoi vers l'Achéron cette foule innombrable ? >> Pourquoi de ces mortels , sur la rive entassés , >> Les uns sont - ils ...
... tableau douloureux Du concours empressé de tant de malheureux , Le héros s'attendrit : « Prêtresse vénérable ! » Pourquoi vers l'Achéron cette foule innombrable ? >> Pourquoi de ces mortels , sur la rive entassés , >> Les uns sont - ils ...
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... tableau de ma postérité ; » De ses brillans destins , ton ame enorgueillie » S'applaudira d'avoir abordé l'Italie . » Alors , le cœur encor tout rempli de ses maux , « O mon père ! est - il vrai que , dans des corps nouveaux » De sa ...
... tableau de ma postérité ; » De ses brillans destins , ton ame enorgueillie » S'applaudira d'avoir abordé l'Italie . » Alors , le cœur encor tout rempli de ses maux , « O mon père ! est - il vrai que , dans des corps nouveaux » De sa ...
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... tableau du poëte romain ? Ulysse , dans l'onzième chant de l'Odyssée , voit passer devant lui des ombres con- fusément évoquées au bord d'une fusse par des cérémonies magiques sans intérêt et sans grandeur ; les morts qu'il inter- roge ...
... tableau du poëte romain ? Ulysse , dans l'onzième chant de l'Odyssée , voit passer devant lui des ombres con- fusément évoquées au bord d'une fusse par des cérémonies magiques sans intérêt et sans grandeur ; les morts qu'il inter- roge ...
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... tableau de la Sibylle échevelée , hors d'elle - même , et luttant contre le dieu qui veut la dompter , a fourni les plus belles images des premières strophes de l'ode au comte du Luc . Rousseau compare fort heureusement les approches du ...
... tableau de la Sibylle échevelée , hors d'elle - même , et luttant contre le dieu qui veut la dompter , a fourni les plus belles images des premières strophes de l'ode au comte du Luc . Rousseau compare fort heureusement les approches du ...
Palavras e frases frequentes
æthera affreux Anchise armes armure Ascagne avoient avoit beau bois bouclier bras brave brillant bruit Cacus Camille camp carnage Cérès champs char cher ciel cieux cœur combats coup courage courroux coursiers d'Énée d'Évandre dards déesse destin dieu dieux discours divin douleur Énée enfans enfers ennemis étoient étoit Euryale Évandre fatal feux fier fiers fils flamme flots foible forêt frémit front fureur glaive gloire Grecs guerriers héros heureux Homère jeune jour Junon Jupiter Juturne l'Énéide l'Iliade l'onde lance Latinus Lausus Lavinie lecteur lieux livre loin long-temps main malheureux mère Messape Mézence mort mortel murs Nisus noble nuit Pallas paroît père Pergame peuple pleurs Pluton poëme poëte poëte latin prêtresse Priam rage remparts rivage rival Romains Rome Rutule s'élance sang sanglante seul soldats sort Soudain superbe tableau terre terrible Tibre Toscans traits tremblant trépas triste Troie Troyens Turnus vaillance vainqueur vaisseaux Vénus victoire Virgile voit voix vole Vulcain yeux
Passagens conhecidas
Página 89 - Nourrissant en secret dans son cœur déchiré Les cuisantes douleurs de l'orgueil ulcéré, Dans ses dépits amers, Amate solitaire Et s'indignoit en reine , et gémissoit en mère. Alecton d'un serpent arme aussitôt sa main, Le lance sur Amate, et le plonge en son sein : Entre elle et ses habits d'une course légère Ce monstre va, revient, la parcourt tout entière; Tantôt de ses...
Página 233 - Sur ses ailes de feu sa fureur se déploie , Et d'étage en étage elle poursuit sa proie. Aux rapides progrès du vaste embrasement Ses défenseurs troublés s'opposent vainement. Tandis que loin des murs que la flamme dévore...
Página 22 - Phlcgélon aux ondes turbulentes Roule d'affreux rochers dans ses vagues brûlantes. La porte inébranlable est digne de ces murs : Vulcain la composa des métaux les plus durs. Le diamant massif en colonnes s'élance ; Une tour jusqu'aux cieux lève son front immense : Les mortels conjurés, les dieux et Jupiter Attaqueraient en vain ses murailles de fer.
Página 359 - Trois fais autour des feux, dans sa morne tristesse, * A tourné des deux camps la brillante jeunesse; Trois fois, poussant des cris funèbres et guerriers, Autour du bois fatal ils guident leurs coursiers : Ces yeux jadis si fiers sont...
Página 8 - Devant le vestibule, aux portes des enfers, Habitent les Soucis et les Regrets amers, Et des Remords rongeurs l'escorte vengeresse; La pâle Maladie, et la triste Vieillesse; L'Indigence en lambeaux, l'inflexible Trépas, Et le Sommeil son frère, et le dieu des Combats; Le Travail qui gémit, la...
Página 346 - ... c'est une créature qui renonce à son être pour n'exister que par la volonté d'un autre, qui sait même la prévenir; qui, par la promptitude et la précision de ses mouvements, l'exprime et l'exécute; qui sent autant qu'on le désire, et ne rend qu'autant qu'on veut; qui...
Página 109 - S'élancent dans les airs en bruyans tourbillons , Obscurcissent les cieux de leurs noirs bataillons , Et, poussant vers la terre un cri rauque et sauvage, Comme un nuage épais vont s'abattre au rivage. Voyez le noble auteur d'un nom cher aux Romains, Ce Clausus qui, sorti du vieux sang des Sabins, De leur race guerrière , à vaincre accoutumée, Forme une armée immense , et vaut seul une année.
Página 95 - Eh bien , reconnois.tu la prêtresse crédule » Que son âge remplit d'un effroi ridicule ? » Regarde, et vois en moi la terrible Alecton, » La plus horrible sœur des filles de Pluton. » Je porte dans mes mains la mort et l'épouvante. » Elle dit, et lui lance une torche fumante; La torche vole, siffle, et s'attache à son sein. Le prince épouvanté se réveille, et soudain Se roule dans des flots d'une sueur glacée; Il s'agite, il respire une rage insensée : K Mes armes, mes amis!
Página 115 - Elle eût , des jeunes blés rasant les verts tapis , Sans plier leur sommet couru sur les épis ; Ou, d'un pas suspendu sur les vagues profondes, De la mer en glissant eût effleuré les ondes , Et, d'un pied plus léger que l'aile des oiseaux, Sans mouiller sa chaussure eût volé sur les eaux. Son air fier et décent, sa démarche imposante, De son manteau royal la pourpre éblouissante...
Página 229 - Tout-à-coup , ranimant sa force languissante , Se meurtrissant le sein , arrachant ses cheveux , Malheureuse , elle part avec des cris affreux , Fend les rangs des soldats , vole au haut des murailles, La pudeur, le danger, l'appareil des batailles , Sa douleur brave tout ; puis élevant...