Depuis le jour que je le perdis, je ne fais que traîner languissant ; et les plaisirs mêmes qui s'offrent à moi, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte : nous étions à moitié de tout ; il me semble que je lui dérobe sa, part... Estudo moral e politico sobre Os Lusiadas - Página 33por José Silvestre Ribeiro - 1853 - 236 páginasVisualização integral - Acerca deste livro
| Augustus John Cuthbert Hare - 1890 - 688 páginas
...que je le perdis, je ne fays que traisner languissant ; et les plaisirs mesmes qui s'offrent a moy, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte; nous estions a moitiè de tout.' Behind the church, in a garden on the hill-side, is the strange sepulchral... | |
| Augustus John Cuthbert Hare - 1890 - 680 páginas
...que je le perdis, je ne fays que traisner languissant ; et les plaisirs mesmes qui s'offrent a moy, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte; nous estions a moitie de tout.' Behind the church, in a garden on the hill-side, is the strange sepulehral... | |
| Michel de Montaigne - 1893 - 356 páginas
...voluistis) habebo1, je ne fay que traisner languissant; et les plaisirs mesmes qui s'olîient à moy, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte : nous estions à moitié de tout*; il me semble que je luy desrobe sa part. Née fas esse ulla me voluptate... | |
| Gustave Merlet - 1894 - 752 páginas
...disait-il pas : « Je ne fais que traisner languissant ; et les plaisirs mesmes qui s'offrent à moi, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte. Nous estions à moitié de tout; il me semble que je lui desrobe sa part. J'étois si accoutumé à cstre... | |
| Michel de Montaigne - 1895 - 786 páginas
...voluiêtit) kabebo, je ne foys que traisuer languissant, et les plaisirs, mesmes qui s'offrent a moy, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte : nous estions à moitié de tout: il me semble que je luy desrobe sa part „. 1 Qaeste acque - lasciano... | |
| Samuel Adrianus Naber - 1897 - 330 páginas
...que je le perdis, je ne fais que trainer languissant: et les plaisirs mêmes qui s'offrent a moi, 179 au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte; nous étions a moitié de tout; il me semble que je lui dérobe sa part: j'étais déja si fait et si accoutumé... | |
| Paul Bonnefon - 1898 - 370 páginas
...languit quelque temps ainsi seul et blessé ; les plaisirs eux-mêmes ne font que raviver sa douleur. « Nous étions à moitié de tout, il me semble que je lui dérobe sa part. » Ce qui le charmait jadis l'ennuie maintenant. Son âme, atteinte dans ses profondeurs les plus sensibles,... | |
| René Doumic - 1898 - 662 páginas
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| Gustave Merlet - 1900 - 828 páginas
...disait-il pas : « Je ne fais que traisner languissant; et les plaisirs mesmes qui s'offrent à moi, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte. Nous estions à moitié de tout; i/ me semble que je lui desrobe sa part. J'étois si accoutumé à estre... | |
| 1900 - 722 páginas
...mort celui-ri ne fit que languir. Laissons-le parler : « Les plaisirs mêmes qui s'offrent à moi, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte ; nous étions(2) à moitié de tout ; il me semble que je lui dérobe sa part... J'étais déjà si l'ait... | |
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