Depuis le jour que je le perdis, je ne fais que traîner languissant ; et les plaisirs mêmes qui s'offrent à moi, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte : nous étions à moitié de tout ; il me semble que je lui dérobe sa, part... Estudo moral e politico sobre Os Lusiadas - Página 33por José Silvestre Ribeiro - 1853 - 236 páginasVisualização integral - Acerca deste livro
| Charles Alexandre Sapey - 1858 - 534 páginas
...parce que « c'estoit moy; » ou cet autre plus touchant encore : « Les plaisirs qui s'offrent à moy, au lieu de -me « consoler, me redoublent le regret de sa perte; « nous étions à moictié de tout, il me semble que « je luy desrobe sa part l. » Mais on ne lira pas sans en être... | |
| 1860 - 646 páginas
...se sont offerts à lui, bien loin de le consoler, ont rendu ses regrets plus douloureux encore. « Nous étions à moitié de tout, il me semble que je lui dérobe sa part. » Douces paroles que Montaigne emprunte à un personnage de Térence, mais qu'il a su rendre siennes... | |
| Joseph Décembre - 1865 - 806 páginas
...s'exprimer qu'en repondant : Parce que c'était lui, parce que c'était moi... Les plaisirs même, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de...de tout, il me semble que je lui dérobe sa part. « AMIX ou MIXE (LA), pays delà basse Navarre, capitale Saint-Palais, arrond. de Mauléon (Basses-Pyrénées).... | |
| 366 páginas
...fais que traîner languissant, et les plaisirs mêmes qui s'offrent à moi, au lieu de me consoler redoublent le regret de sa perte. Nous étions à...de tout : il me semble que je lui dérobe sa part. J'étais si accoutumé à être deuxième en tout qu'il me semble n'être plus qu'à demi. » Après... | |
| Académie nationale des sciences, belles-lettres et arts de Bordeaux - 1870 - 580 páginas
...Montaigne survivant à La Boëtie avec lequel il avait été si longtemps et si étroitement uni : — « Nous étions à moitié de tout, il me » semble que je lui dérobe sa part! » 44 Dans certaines situations affreuses de la vie, lorsque tête et cœur sont tendus sous une préoccupation... | |
| Michel de Montaigne - 1870 - 396 páginas
...voluistis) habebo. ie ne fay que trainer languissant, et les plaisirs mesmes qui se offrent a moy, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte. Nous estions a moitié de tout; il me semble que ie luy desrobe sa part : 3*Çecfas esse vlla me voluptate... | |
| Michel de Montaigne - 1870 - 390 páginas
...voluistis) habebo, ie ne fay que trainer languissant, et les plaisirs mesmes qui se offrent a moy, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte. Nous estions a moitié de tout; il me semble que ie luy desrobe sa part : tf^ecfas esse vlla me voluptate... | |
| Alphonse Leveaux - 1870 - 498 páginas
...que ic le perdis, ie ne foys que traisner languissant, et les plaisirs mesmes qui s'offrent à moy, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte : nous estions à moitié de tout; il me semble que ie luy desrobe sa part. Nee fas esse ulla me voluptate... | |
| Michel de Montaigne - 1873 - 382 páginas
...voluislis) habebo, je ne fay que traîner languissant , et les plaisirs mesmes qui s'offrent à moy, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte. Nous estions à moitié de tout; il me semble que je luy desrobe sa part, Née fas esse ulla me voluptate... | |
| Auguste Charles Henry - 1874 - 416 páginas
...que je le perdis, je ne foys que traisner languissant; et les plaisirs mesmes qui s'offrent à moy, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte; nous estions à moitié de tout; il me semble que je lui desrobe sa part : j'estois déjà si faict et accoustumé... | |
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